Elle pensait son fils autiste, il souffrait en fait de démence précoce

L'histoire débute au mois de novembre 2022. Andre Yarham, un jeune homme de 22 ans qui vit à Norwich (en Angleterre), commence à présenter des symptômes étranges : il se met à parler lentement, à se déplacer moins rapidement que d'habitude, et il semble souvent désorienté. Sa mère est évidemment inquiète de voir son fils se renfermer jour après jour. "Il parlait de moins en moins, et il bougeait de plus en plus doucement, comme s'il avait des difficultés à comprendre son environnement et ce qui était attendu de lui" a-t-elle confié à nos confrères américains du New-York Post. Pour prendre soin de son fils, l'Anglaise démissionne de son travail : "je choisissais ses vêtements le matin, je lui faisais à manger et je l'aidais à se laver car il ne semblait plus comprendre le fonctionnement de la douche."

À ce jour, aucun traitement n'existe contre la démence juvénile

Au mois d'octobre 2023, Andre Yarham passe (enfin) un examen IRM. Surprise : les médecins découvrent que le lobe frontal de son cerveau est anormalement atrophié. À seulement 22 ans, le jeune homme souffre de démence sénile précoce – ou "démence juvénile". Une affection particulièrement rare puisqu'elle ne concerne que 0,1 % de la population britannique. Les examens complémentaires ont également permis de poser un diagnostic d'autisme sur le jeune Anglais – une neuroatypicité que ses parents soupçonnaient déjà depuis plusieurs années suite à un auto-test. La famille (...)

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