Pascale Arbillot à cœur ouvert sur le suicide de son ex : "C’est ça qui l’a tué…"

Pour vivre heureux, vivons caché. Ce dicton pourrait être le credo de Pascale Arbillot. La comédienne est en effet particulièrement discrète sur sa vie privée. A peine sait-on qu’elle a un fils, Leonard, né en 2005 et qu’elle a été en couple avec l’acteur Artus de Penguern mort en 2013 des suites d’un AVC (accident vasculaire cérébral).

Interrogée ce week-end dans la Tribune du Dimanche, Pascale Arbillot a accepté, chose rare, de se confier sur la mort brutale d’un de ses anciens compagnons dont elle tait le nom. Un homme qui s’est donné la mort. "Il a grandi dans une famille très religieuse, très classique, très conventionnelle. C'est cette étroitesse d'esprit qui l'a tué", a-t-elle ainsi affirmé après avoir donné un avis tranché sur la religion. "Je n'ai jamais vraiment compris ceux qui croient en Dieu. Je crois davantage en l'âme, la spiritualité. J'ai été confrontée à la mort, mais rien n'a changé pour moi".

Les confidences de Pascale Arbillot sur sa maladie

Pascale Arbillot est d’ailleurs revenue sur son éducation dans un établissement catholique très strict et non mixte dans lequel les élèves devaient porter l’uniforme. Une école qui n’a pas vraiment laissé de bons souvenirs à la comédienne qui a avoué ne "jamais avoir compris ce qu’elle faisait là-bas". "Et puis il y a eu cette expérience d'une retraite obligatoire qui s'est très mal passée. J'ai été virée, à la plus grande fierté de mes parents ! Ils craignaient que je mette du temps à m'émanciper", a-t-elle poursuivi en expliquant avoir été sanctionnée pour avoir caché, avec sa meilleure amie, des gâteaux alors qu’elles "avaient l’interdiction de manger".

"On s'est fait dénoncer et j'ai pété un câble. On s'est fait expulser comme des meurtrières. Je n'avais déjà pas la foi, mais cette expérience m'a définitivement confortée dans mon athéisme », a conclu celle qui a aussi révélé être atteinte d’endométriose, une maladie découverte alors qu’el...

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