Paris : "La dernière fois que j'ai vu des fractures comme cela...", ces détails atroces sur le meurtre d'un trentenaire

Les faits se sont déroulés en septembre 2020 à Paris. Un homme de nationalité chinoise, Jie Z., 34 ans, va mourir dans d’atroces souffrances. Ce mercredi 5 juin 2024, le procès de son meurtrier présumé, s’est ouvert. A la barre a été appelé le commandant Pierrick Guillaume, qui a mené les investigations. Et le directeur d’enquête du 2e DPJ a listé les blessures atroces subies par la victime, comme l’évoquent nos confrères du Parisien : “Le policier énumère avec une précision clinique la constellation de blessures observées sur le corps supplicié, ‘des pieds à la tête’, lors des premières constatations. ‘Lacérations’, ‘traces circulaires d’enfoncement’, ‘éclatement voire arrachement d’oreille’, ‘mâchoire déchaussée’… La liste donne la nausée”, écrit le quotidien.

La victime est morte dans d'atroces douleurs

En 22 ans de carrière, le commandant indique avoir rarement vu une telle violence. « La chose la plus atroce de ma carrière, c’était le Bataclan. J’ai participé aux premières constatations. Nous sommes restés une vingtaine d’heures à identifier les corps. » Devant cette liste de blessures, la présidente du tribunal ne parvient pas à cacher son émotion. « Les os du corps humain sont solides. La dernière fois que j’ai vu des fractures comme cela, c’était à l’occasion d’un accident de voiture », indique-t-elle. « Un violent coup de pied suffit à casser un péroné. Mais pas (...)

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