Pakistan, Fnac, affaire Kerviel : l'essentiel de l'actualité de ce mercredi

Jérôme Kerviel (à droite) et son avocat, David Koubbi, en janvier, devant la cour d'appel de Versailles.

Si vous n'avez pas eu le temps de vous informer, pas de panique : notre résumé est là pour rattraper tout ça.

Pakistan. Au moins 21 personnes ont été tuées dans l’attaque d’une université du nord-ouest du Pakistan. L'attaque, qui survient un an après un massacre dans une école de la même région, a été revendiquée par une faction talibane pakistanaise.

Religion. Plus de 2 000 actes racistes, antisémites et antimusulmans ont été enregistrées l’an dernier, en hausse de 22% par rapport à 2014, a annoncé ce mercredi le gouvernement. La violence antisémite s'est maintenue, avec 806 actes et menaces recensés, tandis que les actes antimusulmans ont triplé notamment à la suite des attentats de janvier et novembre.

Travail dominical. A peine signé, déjà enterré : l’accord sur le travail du dimanche et en soirée à la Fnac (Kering) ne sera pas mis en oeuvre, les syndicats CGT, SUD et FO ayant décidé de mettre leur veto au texte, avalisé mardi par la CFTC, la CFDT et la CGC. Les magasins du réseau ne pourront donc pas ouvrir au-delà de 12 dimanches, comme le prévoit la loi Macron.

Affaire Kerviel. Jérôme Kerviel doit-il rembourser 4,9 milliards à la Société Générale ? La cour d’appel de Versailles, qui doit examiner l’indemnisation colossale réclamée par la banque à son ex-trader, a décidé de reporter sa décision au 29 janvier, bottant en touche en attendant les décisions d’autres juridictions également saisies du dossier.

Etat d'urgence. La Ligue des droits de l’homme (LDH) a annoncé ce mercredi avoir introduit un recours en référé-liberté devant le Conseil d’Etat afin de demander «de suspendre tout ou partie du régime de l’état d’urgence». L’organisation évoque des «dérives» et souligne «qu’un tel régime d’exception [...] ne saurait perdurer dans un Etat de droit.»

Perquisitions. Deux personnes ont été interpellées et une trentaine d’armes et de munitions saisies au cours de perquisitions administratives menées «dans les milieux de l’ultra-droite violente» en (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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