<p>Secrets de famille </p> - Marlène Schiappa : "Pendant les repas de famille, on finit toujours par s’engueuler à cause de la politique"

La secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes évoque l'importance de sa tribu.

Paris Match. Votre premier souvenir d’enfant ?
Marlène Schiappa. Mon père nous fabriquant pour ma sœur Carla et moi des meubles en cartons pour nos poupées Barbie.

Quel métier rêviez-vous de faire enfant ?
Je voulais écrire - j’inventais de faux journaux, de faux livres - ou faire de la politique. Deux choses qui me paraissaient inaccessibles car je n’avais aucun contact dans ces secteurs.

L’inoubliable conseil de votre mère ?
De toujours travailler et être indépendante financièrement. Je l’ai toujours suivi. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas voulu arrêter de travailler quand mes filles sont nées et j’ai même travaillé encore plus.

Y a t-il un instrument de musique familial ?
Tout le monde - mes parents, mes frère et sœurs, mon mari, mes enfants, moi- joue du piano et quelques uns de la guitare. Enfant, je suis allée au conservatoire puis j’ai été la première fille inscrite à la Maîtrise de Paris lorsqu’elle s’est féminisée. J’y prenais des cours de solfège, chant et piano.

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On obtient rien sans travailler

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Avez-vous un sport « fétiche » familial ?
Le foot. Mais à regarder. Nous sommes tous supporters de l’OM, de père en filles. Et mon mari est Marseillais ! Quand nous sommes là bas, nous emmenons les enfants au Vélodrome, nous allons aussi au stade du Mans et au parc des Princes à Paris.

Où la famille se retrouve-t-elle chaque année ?
Dans notre village au milieu des montagnes dans le sud de Corse où mes arrières-arrières-grands-parents avaient une maison où vit aujourd’hui ma tante.

Avez-vous un objet que vous vous transmettez de génération en génération ?
Un pendentif en forme de Corse. Mon grand-père en avait un et m’en a offert un. Mes filles en ont, ainsi que mon mari, mes sœurs et mes(...)


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