Pékin express : Stéphane Rotenberg réagit à l'abandon de Brandon et Nathan... "Nous n’avions jamais connu ça !" (EXCLU)

Cette 18ème saison a bien démarré en termes d’audience. C’est toujours rassurant, même après tant d’années ?

Stéphane Rotenberg. Bien sûr, cela fait toujours plaisir d’avoir une telle récompense, surtout quand on travaille beaucoup. C'est fou de se dire qu’au bout 18 années, on est encore capable de faire des scores costauds.

Est-ce que vous arrivez à expliquer la fidélité des téléspectateurs à la marque Pékin Express ?

Quand l’émission a été lancée, c’était un autre monde télévisuel. On a pu bénéficier à l’époque d’une très forte notoriété, parce que les gens n’avaient pas autant de choix de chaines. Aujourd'hui, dans un océan de concurrence, on a effectivement l'avantage que le public connait la marque. Cet historique nous aide. Et puis, c’est une émission qui a marqué plusieurs générations. Certains candidats qui participent aujourd'hui me disent : "Je vous regardais quand j'étais petit". Ça ne me fait pas forcément plaisir dans l’absolu ! (Rires). Mais c’est un programme qu'on regarde en famille, avec lequel on grandit. Les gens ont un rapport très bienveillant avec Pékin Express, c’est un peu une Madeleine de Proust pour eux.

Après l'Amérique du Sud, c'est l'Asie du Sud-Est qui est mise en lumière cette année. Un endroit du monde que vous aviez déjà exploré avec Pékin Express

Oui mais nous n’étions pas retournés à Bali depuis 13 ans. Nous avions également déjà tourné en Malaisie, mais dans la partie insulaire. Kuala Lumpur, c'est une découverte totale ! Et depuis notre dernier passage il y a 13 ans, le Vietnam a beaucoup changé. A chaque fois, il suffit de faire un pas de côté, quelques centaines de kilomètres, pour se retrouver sur des sites inconnus. Une route 100% inédite, aujourd'hui, ce serait compliqué. Nous avons déjà tourné dans 45 pays. Entre les pays en guerre, les pays instables et les pays plus riches que la France, qu’on essaie d'éviter, le choix est restreint…

A quel point la destination change et impacte l’aventure des candidats ?

Énormément ! L'incompréhension fait partie du sel de Pékin Express, cette difficulté à créer du lien parce qu'on a du mal à se faire comprendre. C'est pour cette raison, d'ailleurs, qu'on ne s’est jamais rendu dans les régions francophones du monde comme l'Afrique de l'Ouest, du Nord, ou encore la Polynésie. Sans compter que les codes sociaux sont souvent très éloignés des nôtres. En A...

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