Pâques : comment bien choisir son chocolat sans se ruiner

Il ne reste plus beaucoup de temps pour faire ses achats de Pâques, célébrée ce dimanche 31 mars. Des poules, des œufs pour évoquer ceux autrefois partagés entre les fidèles après leurs 40 jours de carême, des cloches pour rappeler la commémoration de la mort du Christ, des fritures pour représenter la pêche miraculeuse de Jésus après sa résurrection… Autant de symboles qui fleurissent chaque année sur les étalages des supermarchés et des artisans chocolatiers.

Depuis les premiers œufs garnis en chocolat par les marchands alsaciens et allemands au 18e siècle, ces gourmandises ont progressivement été remplacées en grand nombre par du chocolat moulé. Alors, comment ne pas se tromper parmi la multitude de produits proposés, en alliant la qualité et les petits prix ?

«Les prix des produits traditionnels de Pâques, cloches, poules, lapins, varient du simple au double entre Paris et le reste de la France. Evidemment, le chocolat industriel très gras et très sucré sera toujours moins bon que celui d’un chocolatier, qui fond ses fèves de cacao et moule son chocolat lui-même», tranche Philippe Toinard, chroniqueur gastronomique, auteur du Guide des meilleurs chocolatiers de France (2014).

«Ensuite, cela est fonction des dépenses de chacun, et de ceux qui dégusteront le chocolat acheté. Pour apprécier un bon chocolat, il faut être prêt à avoir de plus petites quantités, mais un goût extraordinaire en bouche. Pâques est avant tout pour les enfants. Opter pour des petites fritures de Pâques (...)

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