Otages du Hamas, pluies au Kenya, Venise payante… La semaine en photos

À Tel-Aviv (Israël), le 25 avril 2024. Une Israélienne dénonçant la politique du gouvernement de Benyamin Nétanyahou au sujet des otages, retenus depuis deux cent deux jours, lors d’un rassemblement devant le ministère de la Défense. . Photo JACK GUEZ/AFP
À Tel-Aviv (Israël), le 25 avril 2024. Une Israélienne dénonçant la politique du gouvernement de Benyamin Nétanyahou au sujet des otages, retenus depuis deux cent deux jours, lors d’un rassemblement devant le ministère de la Défense. . Photo JACK GUEZ/AFP

Les manifestations se multiplient en Israël pour demander la libération des otages enlevés le 7 octobre par le Hamas. Dénonçant leur “abandon” par le gouvernement, le média israélo-palestinien +972 appelle à un cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne qui ouvrirait la voie à leur libération. En six mois, la société israélienne, traumatisée, a opéré une radicalisation à laquelle nous consacrons la une de l’hebdomadaire cette semaine.

À Lisbonne (Portugal), le 25 avril 2024. Des vétérans de la “révolution des œillets” défilent lors d’une parade célébrant les 50 ans de la chute de la dictature. . Photo PATRICIA DE MELO MOREIRA/AFP
À Lisbonne (Portugal), le 25 avril 2024. Des vétérans de la “révolution des œillets” défilent lors d’une parade célébrant les 50 ans de la chute de la dictature. . Photo PATRICIA DE MELO MOREIRA/AFP
À Lisbonne (Portugal), le 25 avril 2024. Des vétérans de la “révolution des œillets” défilent lors d’une parade célébrant les 50 ans de la chute de la dictature. . Photo PATRICIA DE MELO MOREIRA/AFP
À Lisbonne (Portugal), le 25 avril 2024. Des vétérans de la “révolution des œillets” défilent lors d’une parade célébrant les 50 ans de la chute de la dictature. . Photo PATRICIA DE MELO MOREIRA/AFP

Le Portugal a célébré le 25 avril le cinquantième anniversaire de la “révolution des œillets”, qui a mis fin à la dictature salazariste et à l’empire colonial portugais. Un héritage contesté aujourd’hui par la droite radicale populiste et méconnu des jeunes Portugais. Une absence de transmission qui fragilise la démocratie, alerte le quotidien portugais Público, qui a suivi des vétérans du 25 Avril dans un lycée où ils rappellent les acquis de la révolution.

À Nairobi (Kenya), le 25 avril 2024. Une famille tente de récupérer ce qui peut l’être dans sa maison détruite par des pluies diluviennes, dans le bidonville de Mathare.. Photo LUIS TATO/AFP
À Nairobi (Kenya), le 25 avril 2024. Une famille tente de récupérer ce qui peut l’être dans sa maison détruite par des pluies diluviennes, dans le bidonville de Mathare.. Photo LUIS TATO/AFP
À Nairobi (Kenya), le 25 avril 2024. Une famille tente de récupérer ce qui peut l’être dans sa maison détruite par des pluies diluviennes, dans le bidonville de Mathare.. Photo LUIS TATO/AFP
À Nairobi (Kenya), le 25 avril 2024. Une famille tente de récupérer ce qui peut l’être dans sa maison détruite par des pluies diluviennes, dans le bidonville de Mathare.. Photo LUIS TATO/AFP

“Les pluies vont continuer !” avertit le quotidien kényan Nation, alors que d’abondantes précipitations frappent l’Afrique de l’Est depuis la mi-mars. Au Kenya, elles ont déjà fait près de 40 morts et plus de 11 000 déplacés, selon la Croix-Rouge locale. La saison des pluies, aggravée par le phénomène climatique El Niño, a des conséquences meurtrières dans la région : la Tanzanie a annoncé jeudi que 155 personnes avaient trouvé la mort.

À Boston (États-Unis), le 25 avril 2024. Des étudiants propalestiniens de l’Emerson College bloquent l’accès à leur campement alors que les forces de l’ordre s’apprêtent à charger. Après leur intervention, 108 personnes ont été arrêtées et 4 policiers blessés, selon la police.. Photo JOSEPH PREZIOSO/AFP
À Boston (États-Unis), le 25 avril 2024. Des étudiants propalestiniens de l’Emerson College bloquent l’accès à leur campement alors que les forces de l’ordre s’apprêtent à charger. Après leur intervention, 108 personnes ont été arrêtées et 4 policiers blessés, selon la police.. Photo JOSEPH PREZIOSO/AFP
À Boston (États-Unis), le 25 avril 2024. Des étudiants propalestiniens de l’Emerson College bloquent l’accès à leur campement alors que les forces de l’ordre s’apprêtent à charger. Après leur intervention, 108 personnes ont été arrêtées et 4 policiers blessés, selon la police.. Photo JOSEPH PREZIOSO/AFP
À Boston (États-Unis), le 25 avril 2024. Des étudiants propalestiniens de l’Emerson College bloquent l’accès à leur campement alors que les forces de l’ordre s’apprêtent à charger. Après leur intervention, 108 personnes ont été arrêtées et 4 policiers blessés, selon la police.. Photo JOSEPH PREZIOSO/AFP

Columbia, Yale, Berkeley, New York University… Les manifestations contre la guerre à Gaza et pour la Palestine et les campements étudiants fleurissent sur les campus américains et perturbent la fin de l’année universitaire. Et les arrestations se multiplient. Pour The New York Times, “l’histoire se répète”. Le quotidien voit dans cette mobilisation le fantôme du mouvement de 1968 contre la guerre du Vietnam. Et une menace pour Joe Biden.

À Venise (Italie), le 25 avril 2024. Des touristes sur la place Saint-Marc. Bilan de l’entrée en vigueur de la taxe d’entrée, selon les chiffres rapportés par “La Stampa” : “113 000 demandes d’accès enregistrées, 15 700 personnes payantes, 97 300 exemptées. Total des gains pour la commune : 78 500 euros.”. PHOTO MARCO BERTORELLO/AFP
À Venise (Italie), le 25 avril 2024. Des touristes sur la place Saint-Marc. Bilan de l’entrée en vigueur de la taxe d’entrée, selon les chiffres rapportés par “La Stampa” : “113 000 demandes d’accès enregistrées, 15 700 personnes payantes, 97 300 exemptées. Total des gains pour la commune : 78 500 euros.”. PHOTO MARCO BERTORELLO/AFP
À Venise (Italie), le 25 avril 2024. Des touristes sur la place Saint-Marc. Bilan de l’entrée en vigueur de la taxe d’entrée, selon les chiffres rapportés par “La Stampa” : “113 000 demandes d’accès enregistrées, 15 700 personnes payantes, 97 300 exemptées. Total des gains pour la commune : 78 500 euros.”. PHOTO MARCO BERTORELLO/AFP
À Venise (Italie), le 25 avril 2024. Des touristes sur la place Saint-Marc. Bilan de l’entrée en vigueur de la taxe d’entrée, selon les chiffres rapportés par “La Stampa” : “113 000 demandes d’accès enregistrées, 15 700 personnes payantes, 97 300 exemptées. Total des gains pour la commune : 78 500 euros.”. PHOTO MARCO BERTORELLO/AFP

Pour la première fois, le 25 avril, les visiteurs qui voulaient se rendre entre 8 heures et 16 heures dans le centre historique de Venise ont payé un droit d’entrée de 5 euros, en vertu d’un dispositif expérimental destiné à lutter contre le surtourisme. Le quotidien turinois La Stampa note qu’à cause de nombreuses exemptions un peu plus d’une personne sur dix a payé. “En gros, tu ne paies que si tu viens manger un sandwich en journée”, ironise un passant.—

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