Olga Kurylenko : « J’ai failli péter un câble à Séoul, confinée en plein Covid »

Elle est du genre à se faire désirer car il faudra attendre mi-janvier pour voir Olga Kurylenko dans « D’argent et de sang », la phénoménale série de Xavier Giannoli dont six épisodes sont diffusés d’ici mi-novembre, puis les six autres au début de l’année prochaine. Or, Olga n’apparaît que dans le septième… Les impatients ne seront pas déçus : elle y est, à l’instar de ses partenaires, fascinante, hypnotique, effrayante aussi car incarnant la compagne d’un des instigateurs de « l’arnaque du siècle » (joué par Niels Schneider). « Une femme qui aime le danger, une aventurière, qui chasse les paillettes, l’attention, le paraître, qui s’inscrit dans le monde d’aujourd’hui où on fait croire que le nombre de followers est plus important que ce que vous pensez. » dit-elle.

À lire aussi Pourquoi « D’argent et de sang » est la meilleure série française jamais vue

Un DVD sous le bras à Hollywood

Olga Kurylenko est avant tout du genre à savoir ce qu’elle veut, la tête aussi jolie que bien posée sur ses épaules. Ukrainienne naturalisée française, elle a démarré en 2005 dans « L’annulaire » de Diane Bertrand, un premier film magnifique adapté d’un roman japonais. Décidée à être une actrice internationale, elle est partie naïvement aux États-Unis, un DVD de sa première expérience sous le bras, pour décrocher un agent. « Ils n’ont même pas voulu voir le film ! » se souvient-elle. Bref, elle se prend un mur. C’est « Hitman » de Xavier Gens, une production Luc Besson, qui lui ou...


Lire la suite sur ParisMatch