Non, ces objets retrouvés dans l'océan ne sont pas d'origine extraterrestre !
Au milieu de l'été, Avi Loeb, professeur d'astronomie à l’université américaine de Harvard, faisait parler de lui avec une découverte stupéfiante : des vestiges d'une technologie extraterrestre repêchés en Papouasie-Nouvelle-Guinée au large de l'île de Manus, dans l'océan Pacifique.
De nouvelles analyses révèlent aujourd'hui que les minuscules boulettes de fer seraient en fait le fruit d'une pollution industrielle d'origine humaine, et non des morceaux d'un météore interstellaire. Loeb et ses collègues ont découvert les minuscules sphères lors d'une expédition au large des côtes de Papouasie-Nouvelle-Guinée, à la recherche de fragments d'un météore qui a traversé l'atmosphère en 2014.
Cette année-là, un objet non identifié baptisé "CNEOS1 2014-01-08" s'était en effet écrasé au large de l’île de Manus. Avi Loeb avait alors rapidement émis l'hypothèse selon laquelle il s'agissait d'un objet provenant d'une civilisation extraterrestre très ancienne. Une thèse qu'il avait d'ailleurs détaillée dans un livre intitulé Le premier signe d’une vie intelligente extraterrestre, paru en 2021. Le professeur d'astronomie estime qu'il s'agirait donc du "premier objet connu d’origine interstellaire", en provenance de l’extérieur de notre système solaire. Le commandement spatial du ministère américain de la Défense avait ensuite confirmé cette hypothèse en avril 2022.
En se basant sur la vitesse enregistrée du météore, Loeb et son équipe déclaraient qu'il était probablement d'origine interstellaire (...)
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