“Où est Kate Middleton ?” : les spéculations s’intensifient après la diffusion d’une photo “trafiquée”

La plupart des journaux britanniques ont été pris de court. Lundi 11 mars, leurs unes arboraient le cliché d’une maman et de ses trois enfants, tout sourire, publié à l’occasion de la fête des Mères, célébrée le 10 mars au Royaume-Uni. “Kate [Middleton] a l’air heureuse et en forme”, se félicitait le tabloïd de gauche Daily Mirror. “Kate remercie la nation pour son soutien avec une photo qui prouve qu’elle va mieux”, renchérissait le journal populaire conservateur Daily Express.

“Prouve”, car l’épouse du prince William, premier dans l’ordre de succession au trône d’Angleterre, fait l’objet d’intenses rumeurs depuis son passage à l’hôpital, en janvier, pour une “opération à l’abdomen”. Et qu’importe si le palais de Kensington, lieu de résidence officiel du couple à Londres, a d’emblée prévenu que la princesse de Galles, 42 ans, resterait au repos jusqu’à Pâques : “Son absence ces dernières semaines a entraîné l’émergence de spéculations en tous genres”, explique The Times, d’un possible divorce à l’hypothèse d’une opération de chirurgie esthétique ratée.

Une seule photo de paparazzi

Mais la principale interrogation, plus prosaïque, concerne le décalage entre le traitement des problèmes de santé révélés, à la même période, par Kate Middleton et son beau-père, le roi Charles III. L’un a tout dit, ou presque, de ses problèmes à la prostate puis de son cancer. L’autre, presque rien. Une question de “vie privée”, avait assuré le palais de Kensington.

Peu convaincant, aux yeux des enquêteurs du web : “Où est Kate ?” se demandent ainsi les internautes, avec une insistance devenue difficile à ignorer dans les couloirs de Kensington. Après “soixante-seize jours passés hors de la sphère publique”, calcule The Daily Telegraph, la photo de famille, prise par le prince William et transmise à la presse par Kensington, devait donc dissiper tout malentendu.

Une main mal alignée par-ci, des zones floues par-là

Seulement voilà. Deux journaux, The Daily Telegraph et The Times justement, sont parvenus à glisser, à la faveur d’un bouclage tardif, une précision de dernière minute en une de leur édition du 11 mars : quatre agences de presse internationale (AFP, AP, Reuters et Getty) ont décidé de retirer l’image de leurs plateformes de diffusion. En cause : des soupçons de “trucage”. Plusieurs éléments clocheraient : une main mal alignée avec la manche du cardigan par-ci, une étrange zone floue par-là.

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