De nouveaux détails glaçants sur la mort de Charlise, cachée dans un baril jeté dans un fleuve

Des détails glaçants. Deux ans après la mort de la petite Charlise Mutten, 9 ans, retrouvée morte dans un baril rempli de sable jeté dans une rivière en Australie, se tient le procès de son beau-père, principal accusé dans cette affaire, Justin Laurens Stein. Et si l’homme continue de nier les faits, les preuves recueillies à son encontre ne cessent de le désigner coupable.

L’autopsie de la fillette a notamment montré qu’elle avait ingéré - où plutôt, qu’on lui avait fait ingérer - de la Quétiapine, un médicament antipsychotique, dans les six heures ayant précédé sa mort. Or, ce traitement, réservé à l’adulte, n’est délivré que sur ordonnance et Justin Laurens Stein s’en était justement fait prescrire pour traiter sa schizophrénie, selon le média australien News.

De plus, ce médicament peut provoquer « une sédation et des vomissements importants » s’il est ingéré par un enfant. Or, au moment de sa garde à vue, le beau-père de la victime avait expliqué à la police que la fillette était malade et avait vomi à son réveil le matin de sa disparition. Il avait alors assuré lui avoir donné deux comprimés d’ibuprofène, mais aucune trace de ces médicaments n’a été retrouvée dans l’organisme de la fillette.

Une balle tirée à 30 cm de son visage

L’autre révélation choquante de ce procès a été apportée par le médecin légiste. La petite Charlise Mutten a été victime de deux coups de feu. Le premier, tiré par-derrière, a atteint la fesse gauche de la fillette. Le second a été tiré à...


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