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Alors heureuse d'être arrivée jusqu'en finale pour votre dernière participation au Tournoi des Maestros ?

Alessandra : On est trop, trop, trop heureux. Je n'arrêtais pas de sauter. Heureusement qu'il n'y a pas de caméras dans les coulisses (rires). Je sautais partout tellement j'étais heureuse. C'était génial et même si on n'a pas remporté la finale, c'était une aventure extraordinaire. On ne s'est pas mis de pression, au contraire, on l'a même relâchée (rires). On s'est dit que le plus gros était passé puisqu'on était arrivé en finale et qu'il fallait maintenant en profiter. On était trop heureux de savoir qu'on allait pouvoir rejouer parce que les étapes, quand on les voit, on se dit qu'on a envie de les refaire. Donc, avoir la possibilité de pouvoir rejouer une deuxième fois, on était juste trop heureux de pouvoir chanter le maximum de chansons. Notre objectif, c'était de chanter le plus possible.

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Ça restera donc un beau souvenir ?

Bien sûr ! On n'est pas venu pour se battre ou faire mieux que quelqu'un. Les personnes présentes dans l'émission, surtout les grands maestros, ce sont principalement des amoureux de l'émission, de la chanson française, carrément (rires). Ce n'est pas juste des personnes vénales qui veulent de l'argent. Si on est là et qu'on est aussi haut, c'est parce qu'on aime tellement la chanson française que c'est un plaisir pour nous d'être là. Quand tout n'est pas juste un jeu d'argent, ça nous pousse plus haut.

Pas trop déçue de ne pas avoir remporté la finale ?

Non, je ne suis pas déçue du tout à ce niveau-là, parce que je me suis tellement amusée avec mon équipe. On était tellement en symbiose tous les quatre que quand on n'a pas pu chanté la dernière même chanson, on n'était pas déçus parce qu'on se disait que si on avait dû la chanter, il aurait fallu faire un sans faute jusqu'au dernier mot. Là, ça nous aurait mis une pression supplémentaire, on aurait eu un stress énorme...

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