Noah éliminé de The Voice : "Je savais que les gens me trouveraient trop théâtral"

Tu as 22 ans, depuis quand fais-tu de la musique ?

J’ai commencé la musique à huit ans quand j’ai reçu une guitare à Noël. Ensuite, je suis allé dans une école de musique, puis au Conservatoire de Lorient.

Comment as-tu réagi quand tu as appris que tu étais enfin sélectionné pour The Voice après avoir été recalé pendant sept années consécutives ?

J’y croyais pas, au début, car c’était un repêchage (Rires). J’avais encore été éliminé cette année ! Je crois que je suis le dernier qu’ils ont rappelé pour faire les auditions, je me disais que j’allais encore être rejeté. Ils ont rigolé, ils m’ont dit que non, il n’y avait pas de retour en arrière. C’était le plus beau jour de ma vie.

As-tu tenté de participer à d’autres émissions que The Voice ?

J’ai été contacté par Incroyable talent sur M6 pour faire les castings, mais je n’y suis pas allé. C’était The Voice ou rien, pour moi. L'audition à l'aveugle, c’était extraordinaire. Mon but premier n’était pas que les coachs se retournent, mais être présent pour prouver que j’étais capable d’être dans cette émission, et surtout montrer qui je suis. Et finalement, j’ai eu les quatre fauteuils !

Tu as fondu en larmes…

Et j'ai encore pleuré en la voyant à la télé ! (Rires) J’avais jamais ressenti ça, c’était une libération de me dire : "Bordel, je suis légitime". Il y avait toute ma famille derrière qui regardait. Et je pensais à toutes les personnes qui ont pas du tout cru en moi. Ça m’a fait un bien fou de montrer que j’avais eu raison de persévérer toutes ces années.

À lire également

Orange éliminé de The Voice : "J’étais un peu soulagé de partir"

Pourquoi as-tu choisi de rejoindre l’équipe de Vianney ?

Il y a eu plein de petits signes. Il y a d’abord eu la guitare signature de Vianney qu’on m’a donnée pour faire l’audition à l’aveugle, car la mienne était obsolète. Ensuit, c’est le premier qui s’est retourné, et c’est lui qui a eu l’instant de venir me consoler en me prenant dans ses bras. C’était très fort, comme moment. Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi