Nikos Aliagas à la cérémonie de la flamme olympique, Laure Manaudou première relayeuse française

Pendant plusieurs jours, Nikos Aliagas a été en pleines répétitions. Il faut dire que le franco grec jouait un rôle de taille ce mardi 16 avril : l’animation de la cérémonie de l’allumage de la flamme olympique, à Olympie (Grèce). Un rituel qui s'accomplit « avec beaucoup d’humilité », comme l’a expliqué le journaliste à l’AFP.

Sur place, Nikos Aliagas a pu d’abord présenter la présidente des Jeux olympiques, puis Tony Estanguet (le président de Paris 2024), ainsi qu’annoncer les hymnes nationaux. Le tout, en grec, en français, et en anglais. Avant son départ pour la Grèce, Nikos Aliagas avait confié à « L’Équipe » avoir accepté cette mission « pour être utile » : « Et honorer à la fois les racines de mes parents et le pays où je suis né. »

Nikos Aliagas, entre la France et la Grèce

Souhaitant être « un intermédiaire » entre ces deux pays, Nikos Aliagas a confié être resté attaché aux « symboles » grecs : « Les symboles sont importants, en Grèce. On est dans l’universel car on porte quelque chose qui ne nous appartient pas, qui est un héritage », a-t-il affirmé auprès de l’AFP.

La flamme a d’abord été portée par le Grec Stefanos Ntouskos, champion olympique d’aviron aux Jeux de Tokyo en 2020, avant d’être passée à la première porteuse française : Laure Manaudou. La championne olympique du 400 m nage libre aux Jeux d’Athènes en 2004 a pris le relais, portant la flamme sur quelques centaines de mètres avant de la passer à Margaritis Schinas, vice-président de la commissi...


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