Nicolas Sarkozy en colère à son procès : pourquoi a-t-il parlé de Patrick Bruel ?

C'était une audition très attendue. Après trois semaines d'audience dans le cadre du procès Bygmalion pendant lesquelles il a été représenté par son avocat, Me Thierry Herzog, Nicolas Sarkozy s'est rendu ce mardi au Tribunal judiciaire de Paris pour être entendu au sujet des dépenses excessives qui ont servi à financer sa campagne présidentielle en 2012. Pour rappel, la justice reproche à l'ancien chef de l'Etat d'avoir dépensé à peu près deux fois plus que la somme autorisée, à savoir 40 millions d'euros au lieu des 22 millions et demi prévus par la loi. Indémontable, Nicolas Sarkozy a assuré n'avoir jamais été au courant de ce dépassement. "Je suis connu pour déléguer beaucoup. A ce moment-là, je n'avais jamais entendu parler de Bygmalion (...) Le rôle du candidat, c'est de lever de l'argent. L'organisation derrière, c'était pas mon problème", a expliqué le mari de Carla Bruni à la présidente du Tribunal, Caroline Viguier. Mais alors, comment l'ancien président explique-il de telles dépenses ? "Ma priorité, c'était une bonne sono ! Ne me faites pas casser la voix ! Je ne suis pas Patrick Bruel !", a lancé l'homme politique avant d'ajouter : "Et par ailleurs, je ne voulais pas paraître blafard à la télévision. Voilà mes demandes continuelles pour les meetings."

Nicolas Sarkozy refuse toute "responsabilité pénale"

Affirmant mordicus son innocence, Nicolas Sarkozy a insisté : "Personne n'a démontré que ma campagne avait coûté deux (...)

Lire la suite sur Closermag.fr

Couvre-feu et port du masque : les grosses annonces de Jean Castex
Présidentielle 2022 : ce coup de théâtre préparé dans l'ombre par Cyril Hanouna
Brigitte Macron copie Kate Middleton et Letizia d'Espagne pour ses chaussures d'été
Olivier Véran : son annonce inquiétante à quelques jours de l'été
Barack Obama se livre sur l'activisme de ses filles Malia et Sasha