"Nous on n'aime personne mais peut-être qu’on va nous aimer…" Nicola Sirkis revient sur les 40 ans de carrière du groupe Indochine dans "50 minutes inside"

“Le temps ne semble pas avoir d’emprise sur ce groupe et sur son leader charismatique.” C’est avec ces mots que Nikos Aliagas a introduit le portrait en cinq dates d’Indochine et de Nicola Sirkis, ce samedi soir, dans “50 minutes inside” sur TF1. De leur première télévision en 1982 à leurs moments difficiles avec les médias et les maisons de disques en passant par l’histoire de “Troisième Sexe”, un touchant portrait qui a ravi les fans.

Alors qu’Indochine a dévoilé il y a quelques jours une nouvelle chanson inédite, “Nos célébrations”, puis annoncé un album regroupant leurs meilleurs titres en août prochain, sans oublier une tournée des stades qui démarrera en 2021, Nicola Sirkis, rare dans les médias, est revenu pour Nikos Aliagas sur cinq dates qui ont marqué l’histoire de son groupe.

“L’idée d’Indochine c’était de faire danser les gens”

Si, avec ses 13 millions d’albums vendus, Indochine fait aujourd’hui partie des groupes les plus populaires en France, Nicola Sirkis a expliqué qu’aux débuts du groupe, en 1982, l’intention n’était en aucun cas de courir après la notoriété. Toujours tourné vers le futur, le chanteur a confié avoir vécu son succès “par étapes”. L’une de ces étapes a eu lieu en 1983 avec la sortie de “L’Aventurier”, le premier succès du groupe auprès du grand public.

L’Indochine Mania

Avec “Troisième Sexe” et les titres qui ont suivi, notamment dans les années 1980, Indochine a développé une communauté de fans. Des fans fidèles qui continuent de suivre Nicola Sirkis et son groupe aujourd’hui encore en concert, malgré les périodes plus compliquées avec les maisons de disques et les rapports parfois compliqués avec les médias. En revenant sur près de quatre décennies de carrière au travers de cinq dates clés, Nicola Sirkis a dépeint, à 60 ans, un portrait touchant de son groupe qui a particulièrement ravi ses fans.