Nice : il doit arrêter de préparer son plat emblématique et licencier son cuisinier pour une triste raison

L'odeur de ses petits plats n'a pas plu à tout le monde. A Nice, Claude Smaniotto a dû fermer son établissement à cause des plaintes des voisins incommodés par les odeurs de cuisine. Selon BMF TV, le traiteur renommé du quartier de la Libération s'est vu menacer d'être trainer en justice après une mise en demeure des riverains. Ce qu'ils ne supportaient pas ? L'odeur des oignons utilisés pour sa pissaladière. Le propriétaire de l'établissement "Nulle pâte ailleurs", situé avenue Malaussena, a donc dû renoncer à cette spécialité locale. C'est en 2023 que les propriétaires de l'appartement situé au-dessus du traiteur ont commencé à se plaindre des odeurs de cuisine, qualifiant la situation de "tout simplement intenable". "La préparation de la pissaladière se faisait là-bas au laboratoire et les odeurs sortaient dans la cour qui est derrière. Nous avons proposé une solution, à savoir de mettre un tuyau d'évacuation sur le toit, mais ce projet a été refusé en réunion de copropriété.", a fait savoir Claude Smaniotto.

Sa pissaladière primée en 2018

A noter que si le restaurateur a dû renoncer à son plat fétiche, cela lui a fait d'autant plus mal que sa pissaladière avait été primée en 2018 au cours de la Mondialette de la pissaladière à Nice. Il a également dû licencier son cuisinier. "Il a dû par ailleurs réinventer son activité professionnelle en se dirigeant vers un "autre produit phare de la cuisine niçoise, à savoir le pan (...)

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