"Je ne voulais pas jouer comme ça" : Jade Leboeuf et Stéphane Rodrigues évoquent la stratégie dans Les Cinquante (W9)

Pourquoi avez-vous accepté de rejoindre le programme ?

Jade : J’avais envie de me lancer dans une aventure totalement différente de ma vie. C’était notamment très intéressant de par le jeu de stratégie et des diverses activités à faire dans l’arène.

Stéphane : Je n’ai pas fait de télévision depuis 10 ans, car je ne me reconnaissais pas dans les émissions proposées. En revanche, ayant adoré Squid Game, quand j’ai vu que Les Cinquante s’en inspirait, j’ai aussitôt voulu y participer.

Aviez-vous regardé la saison 1 ?

J : Nous ne regardons pas trop la télévision de base, donc quand elle a été diffusée non, mais peu de temps avant le tournage, nous avons regardé quelques épisodes pour voir ce qui nous attendait. Nous n’avons cependant pas souhaité trop en regarder pour avoir quelques surprises !

Vous êtes-vous découvert une âme de stratège pendant le jeu ?

S : Pas spécialement, car nous partions du principe qu’il s’agissait d’un jeu où il fallait être bon dans l’arène.

J : C’était extrêmement important pour moi de respecter mes valeurs et quand on use du terme stratégie, on peut parler de coups de couteau dans le dos et je ne fonctionne pas de cette manière-là. Je ne voulais pas jouer comme ça.

Quelle a été la chose la plus compliquée au château ?

S : Trouver sa place naturellement avec cinquante personnes qui ont toutes des personnalités fortes et qui connaissent mieux les rouages de la télé-réalité que nous.

J : Socialement, ça a été une expérience qui m’a mise à l’épreuve, car je suis assez introvertie comme fille. Je ne fais pas confiance facilement, donc me retrouver dans un château avec plein de gens que je ne connaissais pas, ça n’était pas simple… De plus, être séparés de notre fils a aussi été un gros challenge.

Comment faites-vous pour rester naturel devant les caméras ?

S : À l’inverse de Jade, je suis très extraverti et à l’aise dans tous les milieux. Une fois les caméras allumées, je savais que je n’allais pas changer ma façon d’être, ni d’interagir avec les autres.

J : Si je commençais à changer ma manière d’être face aux caméras, il n’y avait aucun intérêt à faire cette émission, car le but pour moi, était de rester moi-même.

Qu’est-ce qui vous a le plus surpris ?

J : Je suis quelqu’un de sensible, mais pas d’émotive, or, étonnamment, ce fut le cas pendant Les Cinquante. Je me suis totale...

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