"Il n'a rien à faire en prison" : l'avis tranché de Patrick Balkany sur l'affaire Palmade
"Il n'a rien à faire en prison" : l'avis tranché de Patrick Balkany sur l'affaire Palmade
"Il n'a rien à faire en prison" : l'avis tranché de Patrick Balkany sur l'affaire Palmade
Philippe G., un homme de 39 ans, vient d'être condamné à 18 ans de prison après avoir réservé la pire des surprises à sa femme.
PROCES - Deux frères et la compagne de l’un d'eux sont accusés d’avoir séquestré une femme de 18 ans, lui infligeant pendant six semaines des sévices insoutenables
Alors que la police enquête sur le monstre d’Argenteuil et que les pistes se multiplient, doit-on s’attendre à ce que Benoît soit le tueur en série dans "Demain nous appartient" ?
Carambolage - Jeudi après le neuvième jour de mobilisation contre la réforme des retraites, des manifestations spontanées ont à nouveau eu lieu dans plusieurs lieux de la capitale. L’intervention des forces de l’ordre s’est terminée en carambolage
Féminicide - La femme, née en 1975, était normalienne, agrégée et enseignante en littérature comparée à l’Université Gustave Eiffel de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne)
Pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, le mouvement va-t-il connaître un rebond ?
Débordements - Jeudi soir, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites, la police a interpellé plusieurs jeunes soupçonnés d’avoir participé à l’incendie de la porte de l’hôtel de ville
Enquête - Le corps du principal suspect dans la mort de deux enseignants de Tarbes en juillet dernier, avait été retrouvé dimanche dernier en Espagne par un chasseur
ENQUÊTE. L’enquête judiciaire sur la tuerie est loin d’avoir levé tous les doutes sur ce qui a été présenté dès le départ comme le geste d’un raciste « pathologique ».
Procès - Ce jeudi et vendredi, huit prévenus sont jugés devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour des faits de violences en réunion et d’outrage sexiste qui ont eu lieu dans la nuit du 24 au 25 juin 2022, dans le quartier Saint-Michel
Retrouvée par une passionnée d'histoire, cette peinture était nichée dans le clocher de l'église de Saint-Cormier-des-Landes depuis 1906.
La peine de prison de 25 ans pour "terrorisme" de l'opposant Paul Rusesabagina, le héros qui a inspiré le film "Hôtel Rwanda", a été "commuée", a annoncé vendredi à l'AFP une porte-parole du gouvernement rwandais.Paul Rusesabagina a été rendu célèbre par le film "Hôtel Rwanda" qui raconte comment ce Hutu modéré qui dirigeait l'Hôtel des Mille Collines dans la capitale rwandaise a sauvé plus de 1.000 personnes durant le génocide des Tutsi en 1994.
Le secrétaire général de la CGT quitte ses fonctions fin mars lors du 53e Congrès de la centrale. Marie Buisson et Céline Verzeletti sont dans la course pour sa succession.
"El Conejo" (le lapin), chef d'une bande criminelle recherché depuis des mois et pour lequel les autorités offraient un million de dollars de récompense, a été tué, a annoncé le ministre de l'Intérieur vénézuélien Remigio Ceballos. Le ministre n'a pas donné de détails précis sur la manière dont "El Conejo" a été "tué", mais il a indiqué que ce dernier avait trouvé la mort à l'issue d'une opération qui avait duré "plusieurs mois" dans tout le pays, en particulier dans l'Etat d'Aragua.
Travail - La cour d’appel vient d’ordonner à l’enseigne la fermeture de certains de ses magasins autonomes le dimanche où les seuls personnels présents sont des agents de sécurité sous-traitants
Pris à son propre jeu, l'individu a été arrêté par la police à sa descente de train alors qu'il croyait embobiner de nouveau une jeune femme.
Une centaine de surveillants pénitentiaires sont rassemblés ce jeudi devant la prison d'Arles. Ils en bloquent l'accès pour protester contre les procédures disciplinaires annoncées contre un surveillant de l'établissement, suite à la remise d'un rapport sur l'assassinat d'Yvan Colonna.
Sous un grand soleil et applaudies par des dizaines de spectatrices, des femmes dansent pour célébrer Norouz, l'arrivée du printemps, au Kirghizstan. Une scène qui aurait été conviviale, sans la présence d'un mirador et de barbelés.Car ces danseuses se déhanchant en talons aiguilles sont toutes des détenues incarcérées dans la seule prison pour femmes de ce pays montagneux d'Asie centrale.Condamnées pour homicide, trafic de drogue ou vol, bien que beaucoup clament leur innocence, ces prisonnières de 17 à 70 ans profitent d'un moment de répit à l'occasion de cette fête ancestrale d'origine persane commune à plusieurs pays musulmans, de l'Asie aux Balkans."On essaie de leur remonter le moral, de faire en sorte qu'elles se sentent comme des femmes en liberté et non plus des détenues", explique à l'AFP Zamira Bekmourzaeva, l'une des responsables de la prison.Sur un carré d'herbe sous le regard amusé de gardiennes, les spectacles se succèdent. Les danses laissant place à une compétition de lutte, un sport populaire au Kirghizstan.Les tubes populaires crachés par des haut-parleurs sont alors recouverts par les cris et les encouragements quand deux prisonnières s'affrontent, chacune tentant de projeter l'autre au sol sur la couverture faisant office de tatami improvisé.- "Impression de liberté" -Dans cette colonie pénitentiaire bâtie il y a plus de soixante ans, à l'époque où le Kirghizstan faisait partie de l'Union soviétique, les conditions de vie sont cependant sommaires. L'eau courante est absente dans les cellules, tout comme les téléviseurs. Les douches et les toilettes sont à l'extérieur.Située dans le village de Stepnoe, non loin de la capitale kirghize Bichkek, cette prison accueille quelque 200 femmes, un chiffre en constante diminution, selon Mme Bekmourzaeva."A l'occasion de différentes fêtes, comme la journée des femmes et le Nouvel An, on organise des évènements. On essaie de faire oublier aux détenues, au moins un jour, qu'elles sont en prison, pour qu'elles aient l'impression d'être en liberté", espère-t-elle.La véritable liberté, Natacha, une détenue âgée de 65 ans, pourra à nouveau y goûter dans un an et sept mois, après déjà dix années passées derrière les barreaux pour détention d'héroïne."Quand je dansais, j'étais heureuse. J'essaie de ne pas me décourager, je pense à mes enfants et à mes petits-enfants qui m'attendent à la maison, où on fêtait aussi Norouz", se souvient-elle.- "Entre ces murs" -Mais derrière ces rires, la peine et les difficultés du quotidien carcéral ne tardent pas à refaire surface. Aliona, l'une des meilleures danseuses de la matinée, a retiré ses talons aiguilles rouges pour remettre sa paire de baskets.Si elle apprécie d'avoir dansé, cela reste "un jour comme un autre" pour cette citoyenne russe âgée d'une trentaine d'années elle aussi condamnée pour trafic de stupéfiants, ce qu'elle réfute."Cela m'affecte beaucoup, car je ne peux pas passer cette journée avec les gens avec qui j’aimerais être", regrette Aliona, qui s'apprête à donner le biberon à son fils d'un an et demi, né au début de son incarcération et qui vit avec elle en prison.Si Aliona dit être "aidée par l'administration pénitentiaire" et avoir des "conditions favorables" pour son fils, cela reste "très dur"."J'ai même déjà pensé à l'abandonner, car je craignais de l'emmener en prison : comment allait-il vivre, qu'allait-il manger, quels vêtements allait-il porter, comment se comporteraient les autres détenues ?", se demandait-elle alors.Les larmes aux yeux, la jeune femme poursuit : "Mon fils a peur des gens, il ne voit personne, il est simplement entre ces murs (...) Il n'a jamais vu de sa vie une voiture".N'ayant aucun proche à qui confier son enfant, Aliona "regrette qu'on n'accorde pas de report de peines" et dit avoir "vu des mères en pleurs devoir donner leurs enfants, parfois aux orphelinats".Si tout se passe bien, l'an prochain, Aliona et son fils pourront fêter l'arrivée du printemps en liberté.tol-bk/bur/bds
Le 23 mars dernier, deux adolescentes de 14 et 16 ans ont mis le feu à leur casserole en faisant des œufs. L'incendie s’est propagé dans la cuisine et les deux jeunes filles sont parties sans pouvoir l’éteindre.
La neuvième journée de mobilisation a rassemblé pus de 3,5 millions de personnes dans tout le pays selon les syndicats. Une dixième journée est déjà prévue la semaine prochaine.