N’y a-t-il pas une aberration environnementale à faire voyager des tonnes de déchets sur des centaines de kilomètres [car] des territoires ne se sont pas dotés d’infrastructures nécessaires ?»

Chaque année, la Corse produit 220 000 tonnes de déchets, dont 163 000 enfouies sur place alors que le reste est trié, l’île ne disposant pas d’incinérateur. L’organisme public qui gère ces déchets sur place a retenu deux offres pour le traitement sur le continent de ses déchets : 20 000 tonnes pourraient être prises en charge à Toulouse par Veolia. Dans un courrier rendu public lundi, le maire de Toulouse a fait valoir que cette solution ne saurait être que «de courte durée» et «assortie d’une obligation de réaliser, sous un délai contraint, les installations nécessaires à l’autosuffisance» de la Corse.

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