N’appuyez pas trop sur le champignon !

Chère lectrice, cher lecteur, si vous êtes des fidèles de notre newsletter, vous l’aurez remarqué : notre rendez-vous s’est décalé d’une journée. Et c’est désormais le dimanche que l’on se retrouve, à l’heure du petit-déjeuner. Pourquoi ce changement ? L’explication est simple : nous lançons un nouveau rendez-vous du week-end ! Tous les samedis à partir de cette semaine, vous pourrez découvrir Courrier Week-end sur notre site et notre application.

Récits de voyage, sujets de société étonnants ou axés sur la psychologie et la culture, diaporamas… Une sélection d’articles qui vous emmène ailleurs et vous propose de sortir du flux de l’information, de faire une pause dans l’actualité. Cette semaine, nous vous racontons ainsi comment nous sommes tous devenus technosexuels, le renouveau culturel du Bénin, le “duo de circonstance” en Chine, qui s’éloigne du schéma familial traditionnel, ou encore ce qu’il reste du philosophe allemand Emmanuel Kant : un panaché de belles lectures à retrouver ici.

Quant à Sacrés Français, il sera donc toujours matinal, et désormais dominical… Cette semaine, les péripéties – ou les craintes – autour des Jeux olympiques ont beaucoup occupé la presse étrangère, mal à l’aise face au nettoyage social en cours en Île-de-France et perplexe devant la cérémonie d’ouverture et le rôle de la Seine dans le grand événement à venir.

Comme le suspense risque de durer encore un peu, nous avons choisi de chroniquer un autre sujet, qui occupe beaucoup les Français et intéresse tout autant la presse étrangère : la limitation de vitesse. Certes, la presse belge l’avait rappelé, les automobilistes de l’Hexagone délaissent désormais les autoroutes et les 130 km/h de pointe pour prendre les chemins de traverse et, surtout, économiser un peu d’argent… Mais jusqu’à quel point peuvent-ils ralentir ? Eh bien, ça dépend. La réponse n’est pas la même, selon que vous habitiez Paris ou Lyon, note Die Tageszeitung.

À Lyon, troisième ville de France, où l’on est passé à 30 km/h en ville en mars 2021, et où de nombreux radars ont été installés, le bilan semble plutôt positif, voire encourageant : non seulement le chaos annoncé n’est jamais arrivé, mais le nombre d’accidents impliquant des blessés a baissé.

[...] Lire la suite sur Courrier international