Mutilation de chevaux: un partenariat entre la gendarmerie et les fédérations équines

Photo d'illustration - FRANCK FIFE © 2019 AFP
Photo d'illustration - FRANCK FIFE © 2019 AFP

Les fédérations du monde du cheval et la gendarmerie nationale ont noué un partenariat afin de "renforcer leurs efforts dans la prévention des attaques" contre ces animaux qui se sont multipliées depuis le mois d'août, a annoncé vendredi la gendarmerie dans un communiqué.

La signature de cette convention vise notamment à renforcer des dispositifs déjà mis en place par la gendarmerie et les fédérations équines, comme la mise en place d'un numéro unique ou la sensibilisation des propriétaires à ce phénomène.

Près de 200 enquêtes ouvertes

Depuis le mois d'août, des faits de mutilation principalement de chevaux ont été signalés un peu partout sur le territoire. Environ 200 enquêtes ont été ouvertes mais seulement une trentaine de cas sont considérés de nature humaine, selon la gendarmerie.

Pour les enquêteurs, les motivations sont diverses (challenge sur internet, pratiques sataniques, haine des équidés, mimétisme, etc.) et les auteurs multiples.

La convention a été signée par la fédération nationale des conseils des chevaux, la fédération française d'équitation, la société française des équidés de travail, l'institut français du cheval et de l'équitation et la fédération nationale des courses hippiques (France Galop et le Trot).

Article original publié sur BFMTV.com