Moteurs diesel : quels blocs tombent le plus souvent en panne ?

Les constructeurs français ont longtemps eu du mal à conjuguer solidité avec réussite commerciale pour leurs diesels. Notamment durant les années 2000, souvent chaotiques pour les HDi et dCi. S'ils ont désormais chassé leurs vieux démons, connaître les dates charnières de leur fiabilisation reste important. Celles-ci vous éviteront de miser sur un mauvais numéro, sujet à des pannes coûteuses.

Les blocs jamais fiabilisés :

Chez Peugeot/Citroën : Le 1.4 de 92ch (uniquement proposé sur le premier opus de C3) a eu des soucis d'injecteurs jusqu'à la fin de sa carrière, en 2005. Le plus gourmand 2.2 de 130 ch, avec sa chaîne et sa courroie de distribution, reste sujet aux ruptures de ces deux éléments.

Chez Renault : Le 1.9 de 120 ch, retiré du marché en fin d'année 2005, aura connu durant toute sa carrière, des pannes chroniques du turbo à géométrie variable. Les blocs 2.2 et 3.0 V6 de 180 ch, utilisés notamment par les Laguna 2, Vel Satis et Espace, mais d'origine Isuzu pour le V6, cumulent les casses de bloc, les pannes de turbo, les injecteurs HS et les défaillances de vanne EGR. À fuir !

Les blocs à éviter

Chez Peugeot/Citroën :

  • 4 HDI 70 ch : défaillances de turbo et problèmes d’injecteurs ont caractérisé les premières années de vie de ce bloc. Il a été fiabilisé en 2011.

  • 6 HDi 90/92 ch : les casses de turbo des premiers exemplaires ont été fiabilisées en 2014.

  • 6 HDI...Lire la suite sur Autoplus