Mort d’Emile : cette méthode d’analyse primordiale qui tombe à l’eau à cause d’un geste inconsidéré

Une enquête entachée ? Depuis le 8 juillet 2023, Emile n’avait donné aucun signe de vie. Le petit garçon, âgé de seulement deux ans et demi, avait disparu dans le hameau du Haut-Vernet. Après plusieurs mois de recherches intenses, son crâne a été retrouvé le 30 mars dernier par une promeneuse, sur un sentier très proche du Haut-Vernet, selon le communiqué du procureur de la République, Jean-Luc Blachon.

Seule au moment de la découverte, la randonneuse a ramassé le crâne à mains nues et l’a emmené à la gendarmerie de Seyne-les-Alpes. "Immédiatement transportés à l’IRCGN (Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, ndlr)", les ossements ont finalement été identifiés grâce à l’ADN comme appartenant au petit Emile.

Un geste aux lourdes conséquences

Mais le geste de la promeneuse fait depuis énormément parler, et nombreux sont ceux qui lui reprochent d’avoir touché aux ossements plutôt que d’appeler les autorités, au risque de souiller la scène de crime. C’est par exemple le cas du directeur de l’IRGCN, François Heulard, qui a expliqué dans les colonnes du Figaro que le geste de la femme pourrait avoir de lourdes conséquences sur la suite de l’enquête.

"Lors de la découverte d’un corps ou d’un squelette, le principe premier de l’IRCGN consiste à "geler la scène". Ainsi les équipes ont la maîtrise totale de tous ses éléments, et de ce qu’il se passe dedans", a-t-il tout d’abord expliqué à (...)

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