Mort d’Emile au Vernet : “On aurait préféré…”, les enquêteurs très agacés et voici pourquoi
Samedi 30 mars, l’insoutenable angoisse des parents d’Emile, 2 ans et demi, disparu depuis neuf mois a pris fin. Ce jour-là, des ossements appartenant au petit garçon ont été découverts par une randonneuse à environ 1 kilomètre à vol d’oiseau du domicile des grands-parents dans le hameau du Haut-Vernet. Le site de recherches est désormais inaccessible aux curieux, aux randonneurs et à la presse afin de préserver le secret de l’instruction, mais aussi pour éviter que d’éventuelles traces ne soient "polluées". Mais dans cette enquête qui s’annonce de longue haleine, un détail en particulier a provoqué l’agacement des enquêteurs.
Un large dispositif mis en place pour retrouver d’autres ossements
Sur place, deux équipes cynophiles du centre national d’investigation de Gramat ont été déployées et une dizaine de gendarmes de l’IRCGN de Pontoise font également partie des effectifs. L'équipe compte aussi des techniciens en identification criminelle mais aussi des anthropologues. Pour les enquêteurs qui ont à leur disposition trois drones, il s’agit de reconstituer un double numérique de la scène et de cartographier les lieux. L’objectif est de "fixer" la scène à un instant précis, car celle-ci peut être dégradée par des piétinements ou des conditions météorologiques défavorables. Mais malgré l’ampleur des moyens déployés sur place, une chose en particulier ne rend pas service aux enquêteurs : la façon dont a été (...)
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