Morpho (The Voice) : "J'espère garder contact avec Zazie"
D'où vient votre passion pour la musique ?
Je chantes depuis tout petit. Ma maman faisait beaucoup de chorale, mon père faisait de la guitare, mon frère est devenu batteur… J’ai toujours baigné dans ce côté artistique. Puis j’ai fait beaucoup de danse plus jeune, et j’ai laissé le chant de côté.
Quand avez-vous retrouvé le chant ?
Lors de mon inscription pour participer à la saison 9 de The Voice Belgique en 2021. Là, je me suis dit que c’était ma passion principale, que je voulais faire de la musique tous les jours et devenir chanteur. La chanson est une thérapie et me permet de m’exprimer. Parfois j’ai du mal à communiquer sans musique. Aujourd’hui, je suis au Conservatoire de Namur dans la section "chant pop".
Que retenez-vous de The Voice Belgique ?
C’était une super belle expérience, même si c’est une émission stressante : on arrive sur une grande scène avec plein de caméras… J’ai eu l’occasion d’aller assez loin dans l’aventure (jusqu’aux quarts de finale dans l’équipe de Loïc Nottet, ndlr). Le directeur de casting de The Voice France, Bruno Berberes, m’a contacté en septembre dernier. J’ai un peu réfléchi, je ne savais pas si j’avais envie de retenter l’aventure, parce que ça prend du temps et ça apporte beaucoup de pression. Mais je veux partager ma musique avec un maximum de monde et rencontrer plein d’artistes, donc j’ai accepté.
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Pourquoi avoir chanté That’s not how dreams are made ?
C’est une chanson d’amour qui me parle et Jasper Steverlinck est un artiste belge flamand que j’admire énormément. C’est une de mes influences musicales les plus marquantes, et je souhaitais le faire découvrir en France où il n’est pas connu par tout le monde.