Moldavie : manifestation antigouvernementale organisée par les prorusses
Des milliers de manifestants ont demandé au gouvernement de prendre en charge les factures d’énergie des citoyens et de ne pas impliquer le pays dans une guerre.
Des milliers de manifestants ont demandé au gouvernement de prendre en charge les factures d’énergie des citoyens et de ne pas impliquer le pays dans une guerre.
« Je crois que la Première ministre a démenti cette phrase » a réagi le ministre du Travail hilare après qu’on lui a demandé s’il « est dans le camp des débiles ».
Vos papiers - Parmi les forces de l’ordre, présentes en nombre sur les manifestations contre la réforme des retraites, un homme en uniforme sort du lot. Toléré comme une mascotte par les vrais policiers, Popeye connaît malgré lui une certaine popularité sur TikTok
Un amendement au projet de loi Jeux olympiques a été cosigné par des élus RN et MoDem puis sous-amendé par d’autres de la majorité. Il a été voté.
Dîner - La réunion a rassemblé plus d’une vingtaine de participants, et une initiative commune pourrait voir le jour « dans les prochaines semaines »
Le président Volodymyr Zelensky s'est rendu jeudi près du front dans le Sud de l'Ukraine, demandant des missiles et des avions aux Européens, son armée annonçant elle par erreur un retrait russe d'une ville de l'autre côté du fleuve Dniepr, dans la même zone.M. Zelensky, qui s'est rendu mercredi près de Bakhmout est apparu jeudi près de Kherson, une ville dont les Russes se sont retirés en novembre 2022 pour se replier de l'autre côté du fleuve Dniepr, frontière naturelle entre les deux armées.
L'homme fort du Kremlin a associé cette proposition de la vice-ministre britannique de la Défense à une nouvelle attaque de l'Occident contre la Russie.
L'ancien président russe a appelé les Occidentaux à ne pas douter de "l'étendue de la détermination de la Russie, ni celle de son président", à mener cette guerre jusqu'à son terme.
L'ancien Premier ministre souhaite que la majorité élargisse sa "base politique". Il met en garde: "ne pas essayer de stabiliser le jeu politique est incroyablement dangereux et incertain."
Les Républicains ont répété jeudi leur refus de tout "débauchage", après la main tendue d'Emmanuel Macron aux "individualités" à droite qui ont soutenu sa réforme des retraites. "Nous pouvons travailler autour de textes successifs, mais je suis personnellement pour une ligne qui demeure indépendante, autonome", a estimé jeudi sur le président du Sénat Gérard Larcher sur LCI, rappelant avoir "de profondes divergences" avec le président Emmanuel Macron.
Alors que le Sénégal est secoué par des troubles depuis le 16 mars, jour du début du procès pour diffamation de l'opposant Ousmane Sonko, le président du Sénégal, Macky Sall, a exigé, mercredi, que le gouvernement prenne des mesures pour "préserver l'ordre public". Le président sénégalais, Macky Sall, a demandé, mercredi 22 mars, au gouvernement des mesures pour "préserver l'ordre public", après des troubles liés à un procès de l'opposant Ousmane Sonko qui ont fait au moins un mort.Macky Sall "a
Un responsable russe a mis en garde contre une arrestation de Vladimir Poutine, contre qui un mandat d'arrêt a été émis par la Cour pénale internationale.
Les présidents russe et chinois, réunis à Moscou, ont donné leur feu vert au projet gazier Force de Sibérie 2 et célébré leur relation spéciale face à l’Occident.
Plusieurs associations de lutte contre la pauvreté et d’aide aux plus précaires ont dénoncé le « mépris » ou « l’arrogance » du président de la République sur la question.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'est rendu sur le front près de Bakhmout, tandis que la marine russe dit avoir contré une attaque de drone, mercredi, sur le port de Sébastopol, en Crimée, péninsule annexée par Moscou. Voici le fil du 22 mars 2023. Cette page n’est plus mise à jour. Retrouvez plus d’informations sur l'Ukraine en cliquant ici 3 h 47 : la sûreté de la centrale nucléaire de Zaporijjia dans un état "précaire", alerte l'AIEA La sûreté nucléaire de la centrale ukrainienne
New York ronge son frein mercredi dans l'attente d'une possible inculpation pénale, qui serait historique, de l'ancien président des Etats-Unis Donald Trump.Le milliardaire républicain de 76 ans, qui rêve de "regagner" la Maison Blanche en novembre 2024, doit répondre devant la justice de l'Etat de New York d'une affaire de paiement de 130.000 dollars, juste avant sa victoire à la présidentielle de novembre 2016, à une actrice de films X, Stormy Daniels, avec qui il aurait eu une liaison.Après des années d'enquête par le parquet new-yorkais de Manhattan, son procureur Alvin Bragg, un élu démocrate, semble tout près d'annoncer une inculpation au pénal -- qui serait sans précédent -- du 45e président américain (2017-2021).Ce dernier, qui vit dans sa résidence de Mar-a-Lago (Floride), avait affirmé samedi sur son réseau Truth Social qu'il serait inculpé et "arrêté" mardi.- Dizaines de manifestants -Rien ne s'est passé, à part quelques manifestants pro-Trump devant le palais de justice et la Trump Tower de New York, et à Palm Beach en Floride.Certains médias américains spéculent dorénavant sur l'hypothèse qu'un grand jury - un panel de citoyens aux larges pouvoirs d'enquête qui travaille avec le procureur Bragg - vote une inculpation ce mercredi. Ce grand jury doit d'ailleurs se réunir dans l'après-midi et M. Bragg est arrivé dans ses bureaux dans le sud de Manhattan.Par contre, il n'y aurait pas d'"arrestation" dans l'immédiat, selon la presse locale, et il faudrait attendre la semaine prochaine pour que M. Trump comparaisse devant le tribunal new-yorkais.Après s'être volontairement "rendu" à la justice, il se ferait signifier les poursuites et serait, éventuellement et symboliquement, placé quelques minutes en état d'arrestation.L'ancien président, qui a bouleversé l'équilibre des pouvoirs aux Etats-Unis depuis 2016, serait alors photographié, ses empreintes digitales relevées et il pourrait même être brièvement menotté.- Silence radio -Silence radio au parquet de Manhattan car, selon la très codifiée procédure pénale américaine, les grands jurys opèrent en secret pour éviter le parjure ou la subornation de témoins avant les procès.En attendant, New York se prépare. Tranquillement.Des manutentionnaires de la police de New York (NYPD) ont installé des barrières métalliques devant le palais de justice et la Trump Tower de Manhattan.Et, pour prévenir tout risque d'affrontements dans une ville à l'histoire violente, le NYPD a prévenu que "la présence de policiers en tenue allait augmenter dans les cinq arrondissements de la mégapole", même s'il n'y a "actuellement aucune menace crédible à New York".- "Aucun délit" -M. Trump, cerné par plusieurs dossiers judiciaires, assure, lui, n'avoir commis "aucun délit" et être victime d'une "chasse aux sorcières" menée par les démocrates. L'affaire de l'actrice pornographique Stormy Daniels est juridiquement complexe.La justice new-yorkaise cherche à déterminer si M. Trump est coupable de fausses déclarations, une infraction, ou de manquement aux lois sur le financement électoral, un délit pénal, en ayant versé de l'argent à cette femme, de son vrai nom Stephanie Clifford, juste avant la présidentielle de 2016, que le républicain avait remportée.Dans quel but? Pour qu'elle taise une supposée relation extraconjugale dix ans plus tôt, selon l'accusation.L'enquête s'est accélérée la semaine dernière.Michael Cohen, ancien avocat et désormais ennemi de Trump ayant payé Stormy Daniels, a témoigné devant le grand jury. L'actrice a aussi coopéré avec les procureurs et ce même panel.Donald Trump avait également été invité à s'exprimer devant ce grand jury, selon la presse.La principale crainte des autorités est une répétition des violences de l'assaut du Capitole à Washington le 6 janvier 2021, lorsque Donald Trump, battu dans les urnes en novembre 2020, avait appelé ses partisans à contester les résultats.Il affirme toujours, sans fondement, que la victoire lui a été "volée" par le président Joe Biden.nr/ube
Le président Volodymyr Zelensky s'est rendu mercredi sur le front dans l'Est près de Bakhmout, ville devenue symbole de la résistance ukrainienne, tandis qu'une frappe russe sur un immeuble d'habitation a fait une trentaine de blessées et un mort à Zaporijjia.Dans une autre frappe, au moins une personne a été tuée et ont été 32 blessées, dont trois enfants, selon les secours, lorsque "deux missiles russes" se sont abattus sur un immeuble d'habitation à Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, d'apr
Emmanuel Macron a annoncé mercredi que le controversé projet de loi immigration serait découpé en « plusieurs textes » et ne serait donc pas examiné la semaine prochaine au Sénat.
Mais ce plan de paix en 12 points, qui ne condamne pas l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes, n’a pas convaincu Kiyv et ses alliés. Pour Washington, la Chine ne peut prétendre être impartiale sur la question ukrainienne.
Ces groupes de plusieurs motocycles avec un binôme par véhicule interviennent essentiellement dans le cadre de manifestations susceptibles de dégénérer ou dans le but de disperser des mouvements non déclarés.
Les disputes franco-allemandes sur la place du nucléaire dans la lutte contre le changement climatique et l'interdiction des moteurs thermiques en 2035 se sont invitées jeudi au sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE.Les dirigeants des Vingt-Sept, arrivés en milieu de matinée à Bruxelles, doivent discuter de l'Ukraine et des moyens de renforcer la compétitivité de l'économie européenne jusqu'à vendredi, selon les points officiellement à l'agenda.Dès son arrivée, Xavier Bettel, Premier ministre du Luxembourg, allié de Berlin dans le rejet de l'atome, a défendu sa position. "L'énergie nucléaire? Elle n'est pas sûre, pas rapide, pas bon marché et elle n'est pas respectueuse du climat. Avec des drapeaux européens dessus, ce serait une arnaque", a-t-il lancé.Une réunion bilatérale franco-allemande est prévue vendredi matin alors que les relations entre les deux puissances européennes sont tendues depuis des mois. Le contexte est difficile pour le président français Emmanuel Macron, confronté à des manifestations en France contre sa réforme des retraites. Mais aussi pour le chancelier allemand Olaf Scholz, en difficulté dans les sondages et empêtré dans les divisions de sa coalition.Paris et Berlin se sont affrontés la semaine dernière sur la place du nucléaire dans une proposition de règlement de la Commission européenne en matière de politique industrielle.La France et une dizaine d'Etats qui misent sur cette technologie souhaitaient obtenir la reconnaissance de l'atome dans les moyens à soutenir pour décarboner l'économie, contre l'avis de l'Allemagne et d'une poignée de pays antinucléaires.Finalement, Paris a obtenu que le nucléaire soit mentionné, arrachant une victoire symbolique. Mais, en pratique, la filière ne bénéficiera quasiment d'aucun des avantages prévus par le texte comme l'accélération des procédures d'autorisation de projets ou les facilités de financements qui profiteront aux énergies renouvelables.Emmanuel Macron, arrivé à Bruxelles en début d'après-midi, tentera de convaincre ses homologues de la nécessité d'un soutien plus large. Une bataille s'annonce déjà pour remanier le texte au sein du Conseil qui réunit les 27 Etats membres et au Parlement européen.Autre pomme de discorde: l'automobile. L'Allemagne a choqué ses partenaires début mars en bloquant un texte clé du plan climat de l'UE sur les émissions de CO2 des voitures qu'elle avait pourtant déjà approuvé. - Volte-face allemande -Ce texte, qui imposera de fait les motorisations 100% électriques pour les véhicules neufs à partir de 2035, avait fait l'objet en octobre d'un accord entre Etats membres et négociateurs du Parlement européen, et avait été formellement approuvé mi-février par les eurodéputés réunis en plénière.Pour justifier sa volte-face, rarissime à ce stade de la procédure, l'Allemagne a réclamé de la Commission européenne qu'elle présente une proposition ouvrant la voie aux véhicules fonctionnant aux carburants de synthèse, une disposition pourtant déjà prévue dans l'accord conclu l'an dernier.Cette technologie, encore en développement, consisterait à produire du fuel à partir de CO2 issu des activités industrielles en utilisant de l'électricité bas-carbone. Défendue notamment par des constructeurs haut de gamme allemands et italiens, elle permettrait de prolonger l'utilisation de moteurs thermiques après 2035.L'exécutif européen mène des discussions complexes avec Berlin pour trouver une issue. L'idée est qu'elle précise, dans un texte séparé, comment l'UE pourra accorder à l'avenir un feu vert aux carburants de synthèse, sans remettre en cause ses objectifs de réduction de CO2."Il ne s'agit plus que de trouver la bonne manière de mettre en œuvre cette promesse faite depuis longtemps par la Commission. Et si je comprends bien les discussions, c'est en bonne voie", a déclaré le chancelier Olaf Scholz à Bruxelles, assurant que la Commission allait bien soumettre une proposition.Cette technologie est vivement contestée par les ONG environnementales qui la jugent coûteuse, énergivore et polluante. Le blocage allemand vient des libéraux du FDP qui cherchent à surfer sur l'impopularité de la fin des voitures essence et diesel.Plusieurs responsables s'inquiètent d'une remise en cause des procédures de l'UE qui pourrait faire dérailler de nombreux textes, notamment du plan climat européen, si d'autres Etats suivent cet exemple."Toute l'architecture européenne de prise de décision s'écroulerait si nous agissions tous comme ça", a critiqué le Premier ministre letton, Krisjanis Karins."La plupart des pays disent +on a pris ce cap (du véhicule électrique), ne changeons pas de cap+", a souligné le chef du gouvernement belge Alexander De Croo."On ne souhaite pas revenir sur la date de 2035", a souligné l'Elysée.bur-aro/jca/jt