Meurtre sauvage de Lola : retournement de situation pour Dahbia, la défense de la suspecte mise à mal

Le 14 octobre 2022, la petite Lola, âgée de 12 ans, meurt dans d’atroces souffrances. Violée et torturée, l’enfant est retrouvée inanimée dans une valise dans le 19eme arrondissement de Paris. Sur les images de vidéosurveillance de l'immeuble, une suspecte avait été repérée. Dahbia B., Algérienne de 25 ans logée chez sa sœur dans la même résidence que Lola, avait été identifiée. Interpellée, elle avait reconnu avoir enlevé, séquestré et torturé l'adolescente avant de la tuer et de se débarrasser de son corps.

Dahbia B. n'était pas "atteinte au moment des faits, d'un trouble"

Incarcérée, Dahbia B. voit aujourd’hui sa défense mise à mal, selon nos confrères de BFMTV. En effet, la principale suspecte dans le meurtre de Lola a été soumise à une contre-expertise psychologique. Et selon les conclusions, elle n'était pas "atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ayant aboli ou altéré son discernement et le contrôle de ses actes". Ainsi, elle est "accessible à une sanction pénale et peut répondre de ses actes devant une juridiction". Les deux experts se sont entretenus à trois reprises en 2023 avec Dahbia B. Peu après les faits, plusieurs sources avaient précisé que la suspecte souffrait de troubles psychiques qui auraient altéré son jugement, rendant possible l'irresponsabilité pénale.

Ses échanges avec les experts dévoilés

Encore aujourd’hui, elle ne parvient pas à expliquer les raisons qui l’ont poussée (...)

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