Meurtre de Patricia Bouchon : cet indice majeur qui reste non identifié à ce jour
Dans l'affaire du meurtre de Patricia Bouchon, un indice de premier premier plan n'a jamais pu être identifié. Il s'agit de l'ADN retrouvé sur le corps de la victime. Pour rappel, cette secrétaire, qui exerçait dans un cabinet d’avocats, avait disparu le lundi 14 février 2011. Ce jour-là, Patricia Bouchon avait quitté son domicile à l'aube afin de réaliser son habituel jogging matinal. Alertées par les proches de la victime, les autorités ont ouvert une enquête pour "disparition inquiétante". Finalement, le corps sans vie de Patricia Bouchon fut retrouvé le mardi 29 mars 2011, soit un mois et demi après sa disparition. Son corps présenté des stigmates de violences. La secrétaire avait des vertèbres brisées, le crâne enfoncé, ainsi que trois plaies occasionnées par un objet contondant.
Meurtre de Patricia Bouchon : l'avocat de Laurent Dejean avait plaidé l'acquittement de son client
Le meurtre de Patricia Bouchon est ainsi confirmé, étant donné que la victime fut tuée par strangulation. Durant leurs investigations, les autorités ont relevé de l'ADN sur le corps de Patricia Bouchon. À l'aide d'un témoin ayant aperçu la joggeuse le jour de sa disparition, les enquêteurs ont dressé le portrait-robot d'un homme stationné dans une voiture à contre-sens de la route. Plusieurs personnes ont ainsi cru reconnaitre un artisan-plaquiste de 32 ans baptisé Laurent Dejean. Quatre ans après les faits, il fut finalement interpellé et placé en garde (...)
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