Les meilleures techniques pour pour éliminer les mauvaises odeurs

Le principe du déodorant : appliquer un film collant qui empêche les molécules odorantes produites par les bactéries des aisselles de se volatiliser dans l’air. Ainsi le fumet n’atteint jamais les narines de nos voisins.

Les désodorisants pour textile contiennent des molécules dites « encapsulantes ». Elles emprisonnent littéralement les composés olfactifs et les empêchent d’atteindre le nez.

Dans les textiles « sans odeur », la présence de molécules antibactériennes (nanoparticules d’argent ou de pyrithione de zinc) entre les fibres du tissu limite la prolifération de bactéries responsables des émanations odorantes lorsqu’on transpire.

Dans les toilettes, les parkings ou les stations-service, on applique la technique bien connue du diffuseur de parfum. C’est un héritage de la Renaissance, une époque où l’on préférait s’asperger d’eau de rose plutôt que se laver. On masque les mauvaises odeurs par des molécules aux fragrances plus agréables, plus intenses et peu coûteuses, comme la lavande synthétique.

Au début des années 2000, les sociétés de transport ont placé beaucoup d’espoirs dans la photocatalyse afin de purifier les couloirs du métro ou débarrasser les anciens wagons fumeurs de leur odeur tenace de cendrier. Avec une lampe à UV et s’il y a de la vapeur d’eau dans l’air, un catalyseur (du dioxyde de titane) est capable de casser certains composés nauséabonds en molécules d’eau et de dioxyde de carbone. Cependant, ce procédé ne permet pas de s’attaquer efficacement à un large (...)

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