Max Boublil passe par la case prison dans une comédie sociale et sensible : pourquoi il faut voir Neuilly-Poissy

Copyright G.Boutboul - LATIKA 2024
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Ça parle de quoi ?

Magouilleur et beau parleur, naviguant entre son entreprise florissante et sa vie de famille épanouie, Daniel est un homme comblé. Mais à la suite d’une malversation financière, il doit troquer du jour au lendemain son luxueux appartement de Neuilly contre une cellule de 9m2 dans la prison de Poissy. Du costard-cravate au survêt’-claquettes, la chute est brutale. Daniel se retrouve perdu dans un environnement dont il ne connaît pas les codes. Mais c’est sans compter sur sa tchatche, son humour et son sens inné de la débrouille…

Prison Break

C’est une belle surprise que les spectateurs sont invités à découvrir dès ce 8 mai au cinéma. Présenté pour la toute première fois lors de la 27e édition du Festival de l’Alpe d’Huez, en janvier dernier, Neuilly-Poissy a su cueillir le cœur du public tout en déclenchant rires et larmes. Réalisée par Grégory Boutboul à qui l’on doit notamment les scénarios d’Amis publics, 30 jours max ou encore Andy, cette comédie nous plonge dans l’histoire de Daniel.

Incarné par un Max Boublil au meilleur de sa forme, ce self-made man propriétaire d’une chaîne de restaurants à succès voit sa vie de rêve se transformer en cauchemar lorsqu’il se retrouve emprisonné. Un univers carcéral qui tenait à cœur au cinéaste, lui qui a été bercé par des films du genre, mais souhaitait cette fois-ci y insuffler de la comédie.

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