Maroc. Vers une IVG «a minima»

Au terme de plusieurs semaines de consultations des instances religieuses et de la société civile, le roi Mohammed VI a finalement annoncé, en mai, une timide avancée sur l’interruption volontaire de grossesse dans le pays.

Alors que l’avortement était jusque-là passible d’un à cinq ans de prison, sauf en cas de grave danger pour la mère, il sera désormais autorisé dans trois cas précis : s’il y a malformation du fœtus ou si la grossesse résulte d’un viol ou d’un inceste. Certaines associations dénoncent donc un «avortement a minima», qui continue d’exclure les grossesses non désirées dans un pays où sont pratiqués chaque jour entre 600 et 800 avortements clandestins, selon les ONG.

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