"Le Marineland, c’est vraiment glauque…" : Guillaume Meurice enquête sur les dessous des delphinariums avec Ushuaïa TV

Comment est né ce projet de documentaire ?

Guillaume Meurice : C’est la boite de production, ZED, qui est venu me chercher. Ils savaient que j’étais le parrain de l’association C’est assez - petit jeu de mots ! - qui milite pour la fermeture des delphinariums. Ils voulaient quelque chose de drôle, qui ne soit pas plombant, et d’incarné. Comme j’étais engagé sur la question depuis pas mal d’années, j’ai rencontré le réalisateur Stéphane Jacques, que je ne connaissais pas du tout, et ça a matché. J’ai dit oui tout de suite !

N’était-ce pas prêcher un convaincu ?

Si ! Et surtout, ils m’ont donné la garantie de la liberté, ce qui était l’un de mes critères. C’était même étonnant… S’agissant du groupe TF1, je regardais ça au départ d’un oeil circonspect. Au final, Ushuaïa TV est une petite équipe, mais ils sont top. C’est un peu le village d’Asterix dans la tour TF1 !

On voit que la direction de Marineland a refusé de s’exprimer dans le documentaire…

Je crois qu’elle avait dit oui au départ. Mais une fois qu’elle a su que je faisais partie du projet, elle a changé d’avis. J’avais fait une chronique sur France Inter sur le Marineland il y a quelques années. Et apparement ils s’en souviennent encore (rires).

Qu’est-ce qui vous a le plus marqué au cours de cette enquête ?

Franchement, ce n’est pas pour m’acharner, mais le Marineland, c’est vraiment glauque. Les installations sont vieillottes, ils n...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi