Mémoires de Barbra Streisand : les cinq révélations de son livre événement

Barbra Streisand se livre comme jamais dans son autobiographie.  - Credit:Kevin Mazur/Handout/Shutterstock/SIPA / SIPA / Kevin Mazur/Handout//SIPA
Barbra Streisand se livre comme jamais dans son autobiographie. - Credit:Kevin Mazur/Handout/Shutterstock/SIPA / SIPA / Kevin Mazur/Handout//SIPA

Elle est la femme de tous les records et de tous les excès, la diva aux 200 nominations et 122 récompenses, la dernière grande chanteuse à orchestre, façon Broadway, et en même temps une véritable pionnière, réalisatrice de films à succès à une époque où les femmes étaient exclues du sérail hollywoodien… Avec My Name Is Barbra (Viking, 992 pages), des Mémoires en un seul (énorme) volume tout juste publié aux États-Unis, « la » Streisand, 81 ans, se raconte à la première personne.

On la croit maniaque du contrôle, dotée d'un ego démesuré ? Elle balaie les reproches, raconte ses vulnérabilités, sa peur des moqueries, les légendes du cinéma Walter Matthau et Gene Kelly qui la rabaissent sur le plateau de Hello, Dolly ! (1969), son trac paralysant… Et puis les blessures d'enfance : un père mort avant ses deux ans qu'elle croit retrouver lors d'une séance chez un médium (il la félicite pour ses succès), un beau-père qui ne lui dit pas un mot et une mère destructrice qui se rêvait chanteuse et ne supporte pas sa célébrité… « Après toutes ces années, les insultes me font toujours autant de mal et j'ai peine à croire aux compliments », confie Barbra dès le premier chapitre. En avant la musique !

La vérité sur le nez de Barbra Streisand

Comme celui de Cléopâtre, le nez de Barbra – dont le vrai prénom Barbara, pas assez « unique », disparaît dès son premier engagement au « Bon Soir », un club de Greenwich Village – obsède ses contemporains. Véritable « autel », selon l [...] Lire la suite