Lotus Emeya : light is right ?

C’est un constructeur que l’on associe spontanément aux petites sportives légères, aux voitures de compétition et au plaisir de l’automobile pure et sans chichis. Lotus, célèbre marque britannique, nous a fait rêver par le passé avec ses Seven, Elise, Esprit ou plus récemment Evora. Des modèles qui suivaient toutes le credo « Light is right » de leur fondateur Colin Chapman. Puissance, et légèreté. Mais les temps changent, et Lotus avec… Depuis 2017, elle appartient au groupe automobile chinois Geely, qui l’a fait prendre un virage historique. Finies les sportives thermiques, place à des modèles plus rationnels, et surtout 100% électriques. Après le grand et torturé SUV Eletre, la marque dévoile aujourd’hui une grande berline, elle aussi électrique : l’Emeya.

Vous avez dit Eletre ?

De prime abord, le lien de parenté avec son grand frère saute aux yeux. C’est simple, on dirait un Eletre que l’on a dégonflé et rabaissé. On lui retrouve ainsi les mêmes flancs galbés, le bouclier en moustache et le bandeau arrière lumineux. Ses jantes proéminentes et son toit noir assoient visuellement sa posture, mais elle reste assez « costaude », pour une berline qui devrait privilégier des lignes claires et une aérodynamique légère. Ambiance plus réussie à bord, avec un habitacle épuré et lumineux qui invite aux longs voyages. Il n’y a pas de doute à propos de celle qui est dans son viseur : la Tesla Model S Plaid !

La supercar de tous les superlatifs

Sous le capot, Lotus l’a dotée pour sa version...Lire la suite sur Autoplus