Loi «avenir professionnel», adoption en Seine-Maritime, Mondial... L'essentiel de l'actu de ce mardi

Le Japonais Yuya Osako (c) exulte avec ses coéquipiers après son but contre la Colombie au Mondial, le 19 juin 2018 à Saransk

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Parlement. L’Assemblée nationale a adopté ce mardi le projet de loi «avenir professionnel», acte II de la réforme du marché du travail, qui porte sur l’apprentissage, la formation et l’assurance chômage. Le texte de la ministre Muriel Pénicaud a été adopté en première lecture avec les voix de la majorité LREM-MoDem. LR a voté contre, comme les socialistes, Insoumis et communistes. Retour sur les cinq jours de débat qui ont précédé ce vote.

Justice. L’affaire était devenue un symbole du racisme envers les personnes d’origine asiatique en France : quinze et huit ans de prison ont été requis à Bobigny contre deux jeunes hommes pour l’agression mortelle en 2016 de Chaolin Zhang, un couturier chinois d’Aubervilliers.

Migrants. Il faut «une réponse européenne face au défi migratoire», a déclaré Emmanuel Macron lors d’une rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel près de Berlin ce mardi. L’Europe doit avoir «plus de capacités» pour surveiller ses frontières extérieures mais aussi davantage de «mécanismes de solidarité à l’extérieur comme à l’intérieur de nos frontières» face à l’arrivée des migrants, a ajouté le président français, critiqué pour son absence de réaction au moment de la prise de position de l’Italie sur l’accueil de l'Aquarius.

Discriminations. Des bébés en bonne santé réservés aux couples hétérosexuels ? Le département de Seine-maritime est au cœur d’une vive polémique après les propos tenus par la responsable de son service adoption. Cette dernière a déclaré que les couples homosexuels n’étaient «pas prioritaires» et devaient s’ouvrir à «des profils d’enfants atypiques», par exemple handicapés. Une plainte a été déposée par une association.

FN. La cheffe de l’extrême droite française Marine Le Pen a subi un revers devant la justice de l’UE, qui a confirmé qu’elle devait rembourser près de 300 000 euros au Parlement européen pour l’emploi douteux d’une assistante quand (...) Lire la suite sur Liberation.fr

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