L’homme que j’ai condamné (M6) - Stanley Weber : "J’ai toujours eu la chance de ne pas me sentir choisi pour ma gueule"

Jimmy est-il une brute épaisse ou bien un poète incompris ?

Stanley Weber : C’est un homme attaché à l’écriture, grâce à la professeure qui a bien voulu l’aider. Cela contraste avec l’homme de la rue, bagarreur, qu’il est aussi. Il a grandi dans un milieu difficile, a enchaîné les petits boulots…

À propos de petits boulots, il paraît que vous avez travaillé au marché de Rungis…

J’y retourne, de temps en temps, faire de la livraison pour un copain, propriétaire d’une boîte. Mais j’évite le plus souvent d’en parler, car ça fait le mec faussement humble, genre "je ne suis pas acteur". C’est plus un moyen, pour moi, de garder les pieds sur terre.

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Après le rôle de Juan dans Borgia (Canal+), celui du comte Saint-Germain dans Outlander (Netflix) et Jimmy, ce personnage ambigu, seriez-vous l’incarnation de la beauté du diable ?

Comment répondre à cela ? C’est une chose que j’essaie de ne jamais prendre en compte. J’ai toujours eu la chance de ne pas me sentir choisi pour ma gueule, mais bien pour mes talents de comédien. Après, du côté des producteur... Lire la suite sur Télé 7 Jours

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