L’heure de gloire d’ATEEZ

ATEEZ l’avait promis, 2024 serait l’année du renouveau. Avec « GOLDEN HOUR : Part.1 », sorti vendredi 31 mai, le groupe de K-Pop ouvre le premier chapitre d’une nouvelle ère. Une sortie qui a fait sensation dans l’Hexagone, qui a toujours réservé au groupe une place spéciale.

Après « Treasure », « Fever » et « The World », voici donc venir « Golden Hour », la nouvelle ère d’ATEEZ, dont le dixième mini-album tout juste sorti fait office de prélude. Un condensé des « moments radieux » du groupe, a présenté l’octuor lors d’un live de présentation de l’album.

Établi, adulé et confiant, ATEEZ s’est offert la liberté d’opérer un virage à 360 degrés dans sa proposition musicale. Après une éthérée introduction de « Golden Hour », direction, contre toute attente, l’Amérique du Sud. La chaleur estivale s’abat avec « Blind », ses percussions et ses quelques mots d’espagnol quand l’ovni « Shaboom » ose la rencontre du reggae et de l’EDM.

Quitte à s’y essayer, autant mettre aussi une bonne pincée de latino dans le single. Dans « WORK », ATEEZ chante qu’il ne sert à rien de perdre son temps avec des futilités. Aussi truculent soit le rap et obsédante soit la rythmique, ils s’inclinent devant la star de la chanson : la clarinette. Le mélange suffit à en faire un titre à part dans la discographie du groupe. Le clip – désopilant – tourné sous la chaleur de Los Angeles, donne un aperçu de la chorégraphie, dont San, danseur principal, a participé à l’élaboration. La chanson de ...


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