Législatives : le clan Glucksmann calme le jeu après l’annonce d’un « accord » à gauche

Raphaël Glucksmann était interviewé sur France 2 lundi 10 juin au soir.  - Credit:ROMUALD MEIGNEUX/SIPA / SIPA / ROMUALD MEIGNEUX/SIPA
Raphaël Glucksmann était interviewé sur France 2 lundi 10 juin au soir. - Credit:ROMUALD MEIGNEUX/SIPA / SIPA / ROMUALD MEIGNEUX/SIPA

L'union, vraiment ? Quelques heures après que les principaux partis de gauche du pays ont appelé à la constitution d'un «  nouveau front populaire » en vue des élections législatives anticipées, certains des plus proches soutiens de Raphaël Glucksmann tempèrent la conclusion d'un réel accord.

Lundi 10 juin à 23 h 46, Aurore Lalucq, porte-parole de Raphaël Glucksmann et fraîchement élu députée européenne au scrutin du 9 juin, a ainsi indiqué sur le réseau social X que la réunion du soir «  n'est pas un accord, juste une ouverture de discussion qui a permis de poser nos conditions ».

Ce n’est pas un accord, juste une ouverture de discussion qui a permis de poser nos conditions dont :

- ligne clairement pro-européenne
- soutien indéfectible à la résistance ukrainienne et à la livraison armes
- le rejet de la brutalisation de la vie politique et des calomnies pic.twitter.com/T3XwcU3y9a

— Aurore Lalucq ���� (@AuroreLalucq) June 10, 2024

La coprésidente du parti Place publique, arrivé en troisième position des élections européennes avec le Parti socialiste (PS), a ensuite défini ces conditions : «  une ligne clairement pro-européenne », «  un soutien indéfectible à la résistance ukrainienne et à la livraison d'armes », «  et le rejet de la brutalisation de la vie politique et des calomnies ».

Mélenchon salue « un bon travail qui déjoue la division  »

Place publique figure pourtant bien parmi les mouvements signataires du communiqué de presse aux côtés des Écol [...] Lire la suite