Dans « Koh-Lanta », Alexis pousse un coup de gueule contre son équipe : « une bande de faux culs »
TÉLÉVISION - « On est une bande de faux culs. Moi, je vais dire clairement ce que je pense. » Et c’est ce qu’il a fait. Ce mardi 5 mars, l’ex-militaire Alexis n’a pas mâché ses mots à l’égard des membres de son équipe dans Koh-Lanta, lors du conseil de ce dernier épisode diffusé sur TF1, à l’issue duquel il a été éliminé.
« Là, on est entrés dans une hiérarchie malsaine, a-t-il commencé, lorsque Denis Brogniart lui a donné la parole. En vrai, j’adore Amri, il le sait, mais lui, c’est le roi Amri. Pour moi, c’est nocif. Sarah, elle parle fort et ça énerve certains, ça nuit à l’équipe. Sébastien, avant les épreuves, il fait comme ça [il le mime en train de rouler des mécaniques], il respire fort devant les rouges… Il ne faut pas faire ça ! »
La colère du benjamin ne vient pas de nulle part. Dans l’épisode de ce mardi, la tribu des Kadasi a essuyé deux défaites. Cela fait donc quatre échecs d’affilée pour l’équipe. « On perd et du coup on est ridicules. Je n’ai plus de crédibilité avec cette équipe jaune. Je le dis cash. Et le problème de Léa, [c’est que] tu parles pour dire des choses qui ne sont pas très utiles », poursuit Alexis. Avant de conclure : « Dans l’ensemble, cette équipe est malsaine, elle a une mentalité pourrie. »
Les regrets d’Alexis
De quoi réveiller la colère de ses camarades. « Tu sais, on n’a pas besoin de vivre dans un poulailler et de se foutre sur la gueule chaque jour », lui a lancé Sébastien, le charpentier. Son discours a-t-il joué en sa défaveur ? Lors du vote, Alexis a en tout cas récolté cinq voix contre lui, le poussant à quitter l’aventure.
Aujourd’hui, ce dernier exprime des regrets. « Avec le recul, je me dis que j’y suis allé trop fort et que j’ai mal choisi mon moment, concède-t-il à 20 Minutes. Si c’était à refaire, j’aurais donc eu cette discussion sur le camp, de manière moins agressive. » Même si dans les colonnes de Télé Loisirs, il explique que c’était à Amri « de pousser ce coup de gueule ». « Un leader doit être là dans les mauvais moments et je trouve qu’il n’était pas forcément là », selon lui.
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