Kev Adams : "Je ne suis pas le coureur de jupons que l’on prétend"

Adieu les Etats-Unis et le Québec, l'humoriste préféré des ados revient en France et passe par l'Olympia avant de retrouver les studios.

Paris Match. Votre vie a changé radicalement depuis l’écriture de votre premier spectacle. Où avez-vous puisé votre inspiration pour écrire “Sois 10 ans” ?
Kev Adams. Quand j’ai débuté, j’étais un adolescent et je parlais de ce que je connaissais, quitte à subir les railleries de la critique. Aujourd’hui, j’approche de la trentaine. Je suis un autre et je l’assume. Il faut être à l’aise avec ce qu’on propose à son public. Dans “Sois 10 ans”, je parle notamment de ma relation avec Iris Mittenaere : sortir avec Miss Univers 2016 a été mon quotidien pendant près d’un an.

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Iris était d’accord pour que vous parliez d’elle sur scène ?
Elle est la première personne qui a vu mon spectacle ! Encore aujourd’hui, nous avons une très belle relation, j’ai toujours beaucoup d’amour pour elle. Notre histoire n’a pas marché car nous étions tous les deux très jeunes et très occupés, mais quand vous partagez votre vie avec quelqu’un pendant près d’un an, l’affection ne disparaît pas du jour au lendemain. Parler d’elle sur scène, c’était aussi ma façon de lui faire comprendre que je suis terriblement fier d’être sorti avec une fille comme elle. Et puis, comment faire un spectacle titré “Sois 10 ans” sans aborder le sujet qui a le plus fait parler de moi ces dernières années ? On nous traquait jusqu’en bas des hôtels où nous dormions, on nous suivait, on nous prenait en photo partout, même à l’étranger. C’était du délire.

Et aujourd’hui, vous avez retrouvé l’amour ?
Non.

Vous n’auriez pas un problème avec l’engagement ?
Je ne suis pas le coureur de jupons que l’on prétend, mais j’aime séduire et j’adore la drague. Je trouve que l’être humain est au paroxysme(...)


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