Kate Middleton révèle être atteinte d’un cancer et avoir commencé une chimiothérapie
Voilà qui met fin aux spéculations. Kate Middleton a révélé, vendredi 22 mars, avoir été diagnostiquée d’un cancer “dans un message vidéo personnel et profondément émouvant”, écrit The Independent. Ce cancer, a-t-elle précisé, a été découvert alors qu’elle subissait une opération abdominale en début d’année.
“À l’époque, on pensait que mon état n’était pas cancéreux”, a expliqué la princesse de 42 ans. “Cependant, les tests effectués après l’opération ont révélé la présence d’un cancer”, a-t-elle poursuivi, qualifiant cette découverte d’“énorme choc”. “Mon équipe médicale m’a donc conseillé de suivre une chimiothérapie préventive, et je suis maintenant aux premiers stades de ce traitement”, a ajouté la princesse de Galles. Et “je vais bien”, a-t-elle aussitôt rassuré, “vêtue d’un pull blanc à rayures bleues et d’un jean, assise sur un banc de jardin”.
Cette nouvelle est “un nouveau coup dur porté à la famille royale, le roi Charles et la future reine luttant désormais tous les deux, en même temps, contre le cancer”, contextualise le quotidien britannique de centre gauche. Le roi de 75 ans a immédiatement rendu hommage à sa belle-fille “bien-aimée” et s’est déclaré “si fier de Catherine pour avoir eu le courage de parler comme elle l’a fait”. Le Premier ministre, Rishi Sunak, a déclaré qu’elle avait “l’amour et le soutien de tout le pays”, tandis que les messages de soutien ont afflué du monde entier.
Folles rumeurs
“Alors que les théories du complot faisaient rage dans le monde entier, nous savons désormais que la princesse a choisi de garder la nouvelle privée pour trois raisons : le prince George, 10 ans, la princesse Charlotte, 8 ans, et le prince Louis, 5 ans”, commente The Times, qui croit d’ailleurs savoir que “l’annonce a été programmée pour coïncider avec le début des vacances scolaires de Pâques pour les enfants”, afin de perturber le moins possible leur scolarité.
“Ce qui semblait être des mois turbulents et difficiles pour le couple princier était encore pire que ce que beaucoup craignaient”, souligne le quotidien, qui rappelle la chronologie des événements. Le 16 janvier, la princesse de Galles avait été admise à la London Clinic pour ce que le palais avait alors décrit comme une “chirurgie abdominale planifiée”. Le lendemain, le palais de Kensington avait publié un communiqué indiquant que “sur la base des avis médicaux actuels, il est peu probable qu’elle reprenne ses fonctions publiques avant Pâques”.
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