Kaaris accusé de violences conjugales, la justice a rendu son verdict

La bataille était lancée depuis plusieurs mois. En novembre 2022, le rappeur Kaaris avait été placé une seconde fois en garde à vue (la première fois datait de septembre 2022) alors que son ex-femme, Linda P. l'accusait de l’avoir rouée de coups de pieds et de poings. Pour rappel, les faits reprochés à Kaaris se seraient déroulés en janvier 2022 à son nouveau domicile où son ancienne compagne s’était rendue pour discuter de leur divorce houleux. Selon le récit présumé de cette confrontation, Linda P. aurait cassé le rétroviseur de la nouvelle petite-amie du rappeur en la trouvant chez lui. Kaaris serait alors sorti de la maison et s’en serait pris violemment à la mère de sa petite-fille. Après l’avoir enfermée dans un garage, il l’aurait frappée et mise au sol lui provoquant plusieurs contusions et des ongles arrachés. Ces faits sont ceux rapportés par le témoignage de Linda P.

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Dans le même temps, l'ancienne compagne de l'artiste avait été interpellée par les autorités pour "violation de domicile et dégradation". Ce vendredi 10 novembre, le tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes a statué sur cette affaire et pris la décision de relaxer le rappeur. Comme le rapporte nos confrères du Parisien, le procureur a insisté sur le fait que le certificat médical de Linda P. "n’établissait pas de lien entre les blessures et les violences reprochées" et que "la chute de 2 m de haut n’est pas incompatible avec les lésions constatées". Des témoins ont également affirmé que l'ancienne compagne de Kaaris "devait s’être cassée les ongles en chutant du mur qu’elle a enjambé, et s’être fait mal au pied en frappant le rétroviseur de la voiture".

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