Justice sort "Hyperdrama" : on a écouté l'album ! Notre critique titre par titre

Pochette de l\'album
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Crédits photo : Pochette de l'album

1. "Neverender" feat. Tame Impala


C'est l'entrée en matière idéale, à la fois pour le retour des beaux jours ensoleillés et pour cette nouvelle épopée de Justice. Pour la première fois, le duo français, devenu ambassadeur de la french touch à travers le monde, élargit son cercle de confiance à de nouveaux collaborateurs, de manière officielle. Et la rencontre de Kevin Parker, la tête pensante de Tame Impala, fait parfaitement sens à l'écoute de cette piste introductive à la puissante californian vibe, habilement équilibrée entre dreampop, rythmique funk et pulsations électro. Les yeux aveuglés par un coucher de soleil rougeoyant, Justice glisse ça et là des petits glitchs sonores comme pour nous préparer à la suite... en rupture totale.

2. "Generator"


Grosse montée de "Stress" à l'entame de "Generator", « qui résume le mieux la philosophie de "Hyperdrama" » selon ses créateurs ! L'entame, épileptique, donne le ton de cinq minutes hallucinantes où l'amour de Gaspard Augé et Xavier de Rosnay pour le gabber, une techno hardcore née dans les années 90 aux Pays-Bas, fracasse la tête et fait trembler les murs. Dans ce chaos concentré, les envolées de cordes inquiétantes sont brutalement rompues par des breaks qui nous téléportent dans la moiteur des raves berlinoises. Et quand un pont musical disco apporte un peu d'accalmie, c'est pour mieux repartir dans une frénésie explosive. La claque !

3. "Afterimage" feat. Rimon


La symbiose entre les deux facettes de Justice (techno frontal vs. pop planante) s'opère sur cette superbe collaboration avec Rimon, artiste originaire d'Amsterdam à la...

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