Sous les jupons de l'histoire (Chérie 25) : Christine Bravo évoque le retour de son émission et l'importance de son rôle

Samedi 18 mai, Christine Bravo et sa joyeuse bande sont de retour sur Chérie 25 dès 21h10 avec un épisode inédit de Sous les jupons de l'histoire. Au programme ? Madame Royale. La fille aînée de Marie-Antoinette et Louis XVI qui a survécu à ses parents. C'est depuis le château de Versailles que l'animatrice soulèvera les jupons de Marie-Thérèse Charlotte de France. Pour l'occasion, Télé 7 jours s'est entretenu avec Christine Bravo au sujet du retour de son programme et de l'importance de ce dernier. "Depuis 10 ans, c'est rediffusé en boucle. Alors, ce qui est bien, c'est qu'il y a toujours des nouveaux jeunes à qui ça donne envie de fouiller l'histoire par le côté gossip, un peu people", s'est-elle d'abord réjouie. Puis de préciser : "On a fait ça un peu comme un magazine people, on a repris les codes un peu accrocheurs. Mais au-delà de ça si les gens sont accrochés, ils vont aller se renseigner et c'est génial. Ça veut dire que Sous les jupons de l'histoire, est un vecteur de culture incroyable !".

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"Il y a de quoi être fière"

Si elle prend son rôle comme une responsabilité ? Affirmatif. Elle considère même que sa responsabilité est "énorme" pour cette émission qui lui tient tant à coeur et dont elle est à l'origine. "J'ai fait l'École normale et donc, je savais très bien dans la classe comment captiver les mômes. Et ce n'était pas en leur faisant du calcul au tableau (rires). Pour vous donner une idée de l'importance de la transmission, je vais vous donner un exemple. On prenait l'argent de la coopérative et on emmenait les enfants au marchés. Je leur disais : 'C'est à vous de décider ce que vous achetez, mais surveillez la balance et les prix pour ne pas vous faire arnaquer'. Ces mômes qui ne savaient pas encore faire de calcul mental, ils ne savaient même pas faire une addition, si le vendeur mettait 475 grammes de cerises au lieu de 500 au prix de quatre francs à l'époque, ils disaient : 'Non, ça ne fait pas ce prix-là'"

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