Joséphine Baker et les États-Unis, un amour contrarié

Des deux amours de Joséphine Baker, « Paris » est le plus documenté, mais le tout premier demeure « mon pays », les États-Unis. Comme un lien entre les deux, les archives diplomatiques de Nantes conservent un dossier issu du consulat général de France à New York, qui éclaire la dernière partie de la vie de l'artiste, à partir de 1951, alors qu'elle réalise de nombreux séjours outre-Atlantique. Ces documents permettent d'interroger l'aura internationale de la chanteuse, ainsi ses rapports chaotiques avec son pays natal.