JO de Paris 2024 : deux nouvelles stations de métro, Concorde et Tuileries, ferment avant la compétition

Deux nouvelles stations de métro ferment à Paris avant les JO (photo d’illustration : le 28 mai à la station Concorde).
SAMI KARAALI / AFP Deux nouvelles stations de métro ferment à Paris avant les JO (photo d’illustration : le 28 mai à la station Concorde).

PARIS 2024 - Plus que 40 jours avant les Jeux olympiques de Paris et la capitale se prépare plus que jamais. Pour faciliter ces préparatifs, plusieurs stations de métro vont être fermées, autour des sites principaux où vont avoir lieu la cérémonie du 26 juillet et certaines épreuves.

Alors que l’arrêt Concorde sur la ligne 12 a été fermé au public dès le 17 mai, c’est désormais toute la station qui est fermée, sur les lignes 8, 10 et donc 12, dès ce lundi 17 juin jusqu’au 2 septembre. Idem pour la station Tuileries sur la ligne 1, qui rouvrira à la même date.

La station Concorde doit sa fermeture à sa situation géographique, sous un stade éphémère des JO, tout comme celle des Tuileries. À l’origine, elles ne devaient rouvrir qu’une fois passés les Jeux paralympiques le 21 septembre, mais la date a été avancée au 2 septembre.

Des temps de fermetures moins longs

Une troisième station va aussi bientôt fermer ses portes, celle de Champs-Élysées - Clemenceau, sur les lignes 1 et 13. Elle devait être inaccessible du 1er juillet au 21 septembre, mais la fermeture a finalement été reportée au 20 juillet et la réouverture avancée au 9 septembre.

Autre bonne nouvelle confirmée par le ministre des Transports Patrice Vergriete le 12 juin : la station Champs-Élysées - Clemenceau sera accessible durant un court laps de temps, entre les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques, soit « du 12 au 21 août », a-t-il précisé.

Malgré des « contraintes techniques, liées au montage et au démontage des sites » de compétition, et pour « des questions de sécurité », les délais de fermeture ont donc été allégés au cas par cas, a expliqué le ministre des Transports. « Des fermetures moins longues, c’est quand même plus de liberté ».

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