JO de Paris 2024 : voici les billets que vous pouvez encore espérer décrocher pour la compétition
JEUX OLYMPIQUES - À 140 jours de l’ouverture des JO de Paris 2024, le Comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo) a livré des nouvelles informations sur la billetterie ce vendredi 8 mars. Sur le total de 10 millions de places disponibles pour l’ensemble des compétitions, il en reste à ce jour 2 millions qui n’ont pas été commercialisées, dont 1 million pour le seul football.
Le Cojo a annoncé ce vendredi que la prochaine mise en vente de billets aura lieu autour des 16 et 17 avril, à 100 jours du début des épreuves. Contrairement à la dernière mise en vente du 4 mars dernier, qui n’avait concerné que l’athlétisme, des places pour tous les sports et toutes les catégories seront alors mises en vente. Jusqu’aux JO, environ une fois par mois, l’organisation commercialisera de nouveaux stocks de places.
À l’heure actuelle, sur le site officiel de la billetterie des Jeux, s’il est facile de se procurer des places pour le football à 24 euros ou de rugby à sept à 50 euros, les autres sports ne sont pas disponibles à moins de 80 à 100 euros. Il faut débourser par mois de 170 pour les places les moins chères en athlétisme, pour des qualifications matinales. Et pour la cérémonie d’ouverture, il ne reste pour l’instant plus que de la catégorie A, à 2 700 euros la place.
Cette dernière commencera d’ailleurs à 19h30 le 26 juillet prochain, a révélé le comité d’organisation. Un horaire qui doit permettre de s’appuyer sur la lumière naturelle du soleil couchant, avec toutes ses nuances, pour éclairer la parade sur la Seine des athlètes répartis dans une centaine de bateaux. Précédemment, l’horaire de 20h24 avait été abordé, une option désormais enterrée.
Un tiers des places pour les Jeux paralympiques vendues
Pour les Jeux paralympiques, il reste encore à ce jour 1,8 million de places à vendre. La billetterie des Paralympiques avait ouvert le 9 octobre dernier avec un total de 2,8 millions de billets.
Interrogé ce vendredi sur les différentes critiques adressées tant à l’organisation des JO qu’à l’État, le CIO a dit n’en avoir « aucune surprise ». « Il est tout à fait évident que les mois qui précèdent la cérémonie d’ouverture d’une édition des Jeux olympiques ne sont pas des mois faciles », notamment pour les résidents en raison des travaux, « car la ville se met sur son 31 ».
« On sait que beaucoup de travailleurs vont être impactés par un été long, chaud, avec une perturbation de leur rythme et calendrier habituels et cela amène beaucoup de questions », ajoute-t-on au CIO. « Ce fut le cas à Londres. » « Les indicateurs sont bons à 140 jours, les plans continuent à se dérouler sans accroc », a assuré de son côté le président du Cojo Tony Estanguet.
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