Yahoo Actualités JO 2024 : la sentence tombe pour un porteur de la flamme accusé d’avoir fait des avances à des mineures
10 500 athlètes sont attendus du 26 juillet au 11 août prochain. C'est l'un des évènements sportifs, si ce n'est l'évènement sportif le plus attendu. Il s'agit bien sûr des Jeux Olympiques. Si l'évènement pourrait avoir de quoi faire rêver, il essuie, depuis le début, de nombreuses critiques. Pollution de la Seine, expulsion d'étudiants de leur logement du CROUS, Aya Nakamura qui pourrait reprendre une chanson d'Edith Piaf ou encore hausse des billets de transports en Île-de-France, l'évènement inquiète. Et très récemment, c'est une nouvelle polémique qui est venu écorner l'évènement, comme l'explique Le Parisien. En 2017, le mouvement #MeToo voit le jour et permet à de nombreuses femmes de libérer leur parole quant à leur place dans la société et la perception et le comportement qu'ont les hommes à leur égard. Le mouvement permet notamment de mettre en lumière les comportements sexuellement condamnables de certains grands noms, comme ce fut le cas pour Harvey Weinstein. Et cette libération de la parole ne s'est pas arrêtée. Les réseaux sociaux aidant, il n'est désormais plus rare que des femmes n'hésitent plus à publier publiquement les comportements déplacés, immoraux, voire illégaux, de certains hommes dont elles ont pu croiser la route. Et c'est exactement ce qu'il vient d'arriver au comité des Jeux Olympiques 2024 de Paris.
"T'es pas net Baptiste"
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